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Moustiers Sainte Marie est surtout connue pour sa production de Faience fine. C'est néanmoins sa situation dans ce cirque qui en fait une curiosité. ce matin là il pleuvait a verse et je suis partie a pied afin d'essayer d'avoir une plus belle image de l'endroit.
je connaissais cet endroit pour y être venue en voyage de Noce en 1964. mais je n'en ai aucun souvenir précis
Nous ne nous sommes pas aventuré dans la cité avec la Ccar. j'étais dégoutée par la météo
Cette brêche m'a interpellée, mais je n'ai rien trouvé la dessus. ce n'est pas Roland qui est passé par là
Chapelle de Notre Dame de Beauvoir qui fut un lieu de dévotion durant le haut moyen age
Ensuite nous partons par la RN 952. Une dernière vue du Lac .... nous montons dans le brouillard
une cinquantaine de kms plus loin nous arrivons à Castellane.
On est surpris par son Roc, Falaise Cyclopéenne qui la domine du haut de ses 198 metres. C'est un joli but de promenade avec une vue d'ensemble sur Castellane. On longe les ruines du bourg féodal de Pétra castellana. L'èglise Saint André est un lieu de pélerinage trés fréquenté.
Mais nous n'en avons pas fini avec la Verdon, Quelques kilomètres plus loin....
Nous voici prés du Lac de Chaudanne. Situé immédiatement à l’aval du barrage de Castillon, il permet de limiter les variations de débit à l’entrée des gorges du Verdon.
C'est un barrage voûte construit de 1950 à 1953, dans le département des Alpes-de-Haute-Provence. Le Lac de Chaudanne est un lac artificiel très encastré dans les gorges. Il se situe dans la partie haute du Verdon.
je le trouve fantastique.
Cette retenue d’eau est issue d’un barrage haut de 72 mètres, représentant une superficie de 70 hectares pour un volume de 16 millions de mètres-cubes d’eau. Ce lac a été formé suite à la création du barrage de Chaudanne et fait 74 mètres de hauteur et 95 mètres de longueur. En plus de produire de l’électricité, le barrage permet de contrôler le débit de l’eau à l’entrée des Gorges du Verdon.
Le Verdon n'a pas fini de nous surprendre...... la suite bientot.
Désolée pour mes premières photos pas trés bonne dues au temps pourri que nous avons rencontré ce matin là.
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Le pont que nous voyons sur l'article précédent marque la limite entre les alpes de haute Provence et le Var. Mais aussi le Verdon devient le lac de Sainte Croix en arrivant sous le pont.
Peu de choses à dire, nous admirions cette montagne de roche creusé par le torrent depuis des millénaires
j'aurais bien aimé ramer moi aussi et aller voir plus loin...
une seule embarcation sur le lac
il était 10 heures du matin, il pleuvait, nous avons pris la RN 952 jusqu'a Castellane, nous étions dans le brouillard nous n'avons rien vu. Juste bu un café dans un resto bondé de motards vers La Palud sur Verdon.
J'ai trés envie d'y retourner avec un moyen de locomotion plus performant, ma voiture par exemple.....
Mais nous n'en avions pas fini avec le Verdon qui descendait de plus haut. Il prend sa source prés du Lac d'Allos.
A suivre.
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Nous sommes arrivés par le nord et au pied de Moustiers Sainte Marie, nous voyons le lac.
derrière le pont les gorges du Verdon commencent
il était plus de 19 heures et le soleil n'était pas trés présent
Nous ommes là dans la partie le plus au nord du Lac
on dirait une photo noir et blanc le soleil était presque couché
les plagistes rangeaient les pédalos.
a suivre : le départ des gorges
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Lors de notre périple sur les petites routes des alpes du sud, nous avons rencontré des petits villages accrochés à des pitons rocheux et le plus surprenant fut : Simiane la Rotonde sur le plateau d'Albion.
au hasard de la route on arrive en face de la rotonde !
En visitant le château de Simiane-la-Rotonde, vous plongerez dans l'histoire millénaire d’un édifice qui succéda à un ancien oppidum romain. Propriété des Simiane Agoult, il connut plusieurs remaniements importants au gré de périodes d’intenses activités ou d’abandons partiels.
L'un des plus anciens châteaux de la Provence médiévale. La partie la plus ancienne du château est la tour en forme de cône tronqué, l’ancien donjon, haute de plus de 18 mètres, jadis entourée d’un large fossé sec. Les restaurations récentes permettent d’appréhender avec plus de justesse l’espace de vie des occupants du Moyen-âge. Une exposition permanente consacrée à l’histoire du château et de la famille prend place au sein d’une très belle salle romane : vous y découvrirez des éléments d’architecture retrouvés dans la cour castrale lors des dernières fouilles archéologiques, ainsi que des copies de documents manuscrits témoignant d’évènements locaux.
Depuis la terrasse aménagée sur l'aile Est, ancien logis en ruine du XIe siècle, vous admirerez la vue imprenable sur les toits en contrebas, la vallée couverte de champs de lavandin (en saison) et les collines boisées de chênes blancs. L’appartement Renaissance restauré, et ses trois salles en enfilade, permet aujourd’hui d’accueillir des expositions et le laboratoire d’aromathérapie Sainte Victoire qui initie les visiteurs aux bienfaits des huiles essentielles.
Simiane la
Rotonde est situé à 630 m d’altitude dans les monts de Vaucluse, dans le département des Alpes-de-Haute-Provence, à la limite du département de Vaucluse.
Si le château nécessite encore de trouver de nouveaux documents d’archive afin de nous révéler tous ses mystères, il ne manquera pas de vous fasciner par sa pièce maîtresse : la salle d’apparat, salle haute du donjon avec sa magnifique coupole et ses nervures se terminant en mouvement hélicoïdal sur un oculus zénithal. Des masques de pierre expressifs, issus d’un bestiaire médiéval symbolique, cohabitent aujourd’hui avec des œuvres contemporaines, renouvelées au fur et à mesure des expositions. Un festival de musique ancienne fait résonner chaque été au mois d’août ce bel édifice qui accueillit autrefois des troubadours.
J'aurais pu descendre dans le village par d'étroits chemins pavés, mais n'étant pas chaussée pour. je ne me suis pas hasardée dans les dédales de ce curieux village.
Simiane la Rotonde vu par la route du bas.
De ce cote nous voyons la petite tour qui se trouve en haut de la Rotonde.
en 2019 le village comportait 600 âmes.
Je suis désolée de vous mettre des photos tordues.... mais je suis tordue moi même , alors , cqfd.
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Aprés Grignan, nous avions choisi de monter au Ventoux..... Nous voila parti.... Nyons, Vaison la romaine, que nous connaissions déja bien, puis Malaucène puis la D914....
et nous montons..... à certains endroits la montée était rude, mais le paysage supêrbe
nous voyons les crêtes de Rissas, le sommet de la Plate...
mais trés rapidement nous voyons que notre véhicule qui est presque aussi vieux que nous, manque essentiellement d'envie de monter si haut en aussi peu de kilomètres. De 325 mètres à 1941 mètres en 21 km.
Ne voulons pas tuer notre Ccar, nous préfèrons redescendre, nous avions fait environ 15 km, mais les 6 derniers étaient assez problèmatique, quant au dénivelé.....
le paysage est trés beau, nous n'avons pas trop perdu de temps en essayant de monter
nous redescendons et passons par la D40 voici un village perché, il s'git de Saint André Entrechaud
ah ! mais surprise que voit on ? c'est bien lui sur notre droite
on le suit au fur et a mesure de notre route, là je l'ai pris au zoom
il joue à cache cache avec nous selon notre route, il est vraiment pelé a son sommet
je ne regrette pas d'avoir fait demi tour, on le voit bien de cette route, je le verrais mieux au prochain tour de France. A la télévision.
Nous voici à Montbrun les bains encore un village perché
Avec un château féodal dont il ne reste que les murs. Nous pensions y faire une halte à l'aire de CC de ce village, mais l'aire est sur le parking de super U et la borne est en trés mauvais état.
on ne voit pas trop les détails du château photo prise a contre jour.
Plus loin les grandes oreilles de l'Armée Française sur le plateau d'Albion
Nous irons dormir à Sault dans un camping au milieu des pins.
A bientôt.
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Bonjour, nous venons de passer une semaine dans le Sud Est, notre première visite était le village de Grignan dans la Drôme, bien connu, car Madame de Sévigné y venait en visite, car sa fille avait épousé le seigneur du lieu.
En approche ........ nous montons
Grignan est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Le site de Grignan est d'abord un domaine agricole des Gallo-romains qui est devenu une dépendance de l'évêque de Die.
un temple grec,
non, une fontaine trés rafraichissante
La Tour de la porte du Tricot construite au XIIIe siècle qui mène au chateau
Nous ne pouvons pas échapper aux marchants du temple
Nous voici non loin du Chatelet d'entrée, ça grimpe.
Le 29 janvier 1669, François Adhémar de Monteil de Grignan, seigneur du lieu épouse Françoise-Marguerite de Sévigné (née à Paris le 10 octobre 1646). Ce mariage était le troisième du comte de Grignan. Françoise de Sévigné était qualifiée de « plus jolie fille de France ». Elle avait fait ses débuts à la cour à dix-sept ans.
les toits de Grignan avant d'arriver au château.
La chute de Fouquet dont elle est l'amie va progressivement éloigner Madame de Sévigné de la cour. Cet éloignement de la cour va rendre difficile le mariage de Françoise de Sévigné malgré une dot importante de 300 000 livres. Comme l'écrit Madame de Sévigné à son cousin Bussy-Rabutin : « la plus jolie fille de France épouse, non pas le plus joli garçon, mais un des plus honnêtes hommes du royaume ».
L'arrivée aux portes du château est plutôt moyenâgeux
la cour est inaccessible, nous entrons par ce porche afin d'aller aux terrasses
Lorsque le comte de Grignan est nommé lieutenant-général en Provence en 29 novembre 1669, il quitte Paris pour la Provence en 1670. Le 4 février 1671, Françoise de Sévigné quitte à son tour Paris pour rejoindre son mari après la naissance de leur première fille, Marie-Blanche.
Extrémité de la galerie des Adhémar
Mme de Sévigné étant, depuis Paris, séparée de sa fille, elle entama sa fameuse correspondance, et se rendit à Grignan trois fois pour de longs séjours. Son premier voyage dure quatorze mois entre le 30 juillet 1672 et le 5 octobre 1673. Le deuxième dure treize mois d'octobre 1690 à novembre 1691. Le dernier va, de mai 1694 à sa mort le 17 avril 1696, où elle est au chevet de sa fille, gravement malade.
Des gradins ont été installés pour des spectacles
Aprés de multiples tergiversations d'héritages et de ventes diverses, le 10 janvier 1979 le château est vendu au conseil général de la Drôme qui y transfère, peu après, des objets récupérés par Léopold Faure et qui étaient présentés dans le musée Faure-Cabrol, grande rue à Grignan (tapisseries, tableaux…).
La cour du puits, dont le puit a disparu
La galerie des Adhémar avec sa rangée de gargouilles
Le parvis de la Collègiale Saint Sauveur qui se trouve au dessous des terrasses.
Le 24 février 1987, le château, le parc et les terrasses sont inscrits au titre des monuments historiques
la façade renaissance
Entre 1540 et 1545, Louis Adhémar entreprend la construction du corps de logis sud, probablement par Antoine Soysson, pour terminer l'édification de la collégiale Saint-Sauveur entre 1539 et 1543 en contrebas du flanc sud-ouest du château. L'ensemble formé par la grande galerie, les espaces résidentiels est et le nouveau logis sud entoure la cour du puits.
La tour sud de la façade renaissance
Depuis 1987 et leur création par Yves Faure (metteur en scène) et Christian Trézin (conservateur du château en 1987), sont organisées dans la cour du château les « fêtes nocturnes du château de Grignan », à savoir un spectacle en extérieur, créé pour le lieu, représenté en juillet et août. Variant les genres et les metteurs en scène, cette manifestation attire, chaque été, entre 27 000 et 30 000 spectateurs. Les éditions 2014 et 2015 ont attiré respectivement 32 738 et 32 800 spectateurs, constituant des années records en termes de fréquentation.
En redescendant dans le village nous trouvons une statue de cette chère Marquise.
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Nous avons quitté Grignan, afin d'essayer de monter au sommet du Mont Ventoux. Mais cela est une autre histoire.
A bientôt
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Ce fameux pont neuf qui est comme son nom ne l'indique pas est le plus vieux pont de Paris.
Il traverse la Seine à la pointe ouest de l'île de la Cité. A gauche la magasin de la samaritaine qui vient d'être rénové
Construit à la fin du XVIe siècle et terminé au début du XVIIe, il doit son nom à la nouveauté que constituait à l'époque un pont dénué d'habitations et pourvu de trottoirs protégeant les piétons de la boue et des chevaux. Il est aussi le tout premier pont de pierre de Paris à traverser entièrement la Seine.
C'est mon pont préféré, parce qu'il mène a l'Ile de la cité
Le 16 mars 1578, la construction est autorisée par lettres patentes du roi, lequel pose la première pierre de l'ouvrage le 31 mai suivant en présence de la reine mère Catherine de Médicis et de la reine Louise de Lorraine-Vaudémont.
Comme la plupart des ponts construits à l'époque, le pont Neuf se compose d'une série de courtes arches. À la reprise des travaux interrompus dix ans, Henri IV opta pour un pont sans maison. Dans les corbeilles sont érigés de petits bâtiments abritant des boutiques.
Henri IV est toujours fidèle au poste, sa statue sert de perchoir aux oiseaux de Paris.
un peu plus loin, la Tour saint Jacques et l'église de Saint Germain l'auxérois.
a bientôt.
Article programmé
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Il y a tout juste un an nous étions de passage en Avignon. Voici quelques photos. Le soleil était absent et j'ai trouvé le Palais des Papes trés austère.
Le Palais des papes d'Avignon est la plus grande des constructions gothiques du Moyen Âge.
À la fois forteresse et palais, la résidence pontificale fut pendant le xive siècle le siège de la chrétienté d'Occident. Six conclaves se sont tenus dans le palais d'Avignon qui aboutirent à l'élection de Benoît XII, en 1335 ; de Clément VI, en 1342 ; d'Innocent VI, en 1352 ; d'Urbain V, en 1362 ; de Grégoire XI, en 1370, et de Benoît XIII, en 1394.
Le palais, qui est l'imbrication de deux bâtiments, le palais vieux de Benoît XII, véritable forteresse assise sur l'inexpugnable rocher des Doms, et le palais neuf de Clément VI, le plus fastueux des pontifes avignonnais, est non seulement le plus grand édifice gothique mais aussi celui où s'est exprimé dans toute sa plénitude le style du gothique international.
Il est le fruit, pour sa construction et son ornementation, du travail conjoint des meilleurs architectes français, Pierre Poisson et Jean de Louvres, dit de Loubières, et des plus grands fresquistes de l'école siennoise, Simone Martini et Matteo Giovanetti.
En dépit du retour de deux antipapes, lors du Grand Schisme d'Occident, de la présence constante du XVe siècle au WVIIIe siècle de cardinaux-légats puis de vice-légats, le palais perdit toute sa splendeur d'antan mais conserva, en dehors de « l'œuvre de destruction » cet aspect que rapporte Montalembert.
« On ne saurait concevoir un ensemble plus beau dans sa simplicité, plus grandiose dans sa conception. C'est bien la papauté tout entière, debout, sublime, immortelle, étendant son ombre majestueuse sur le fleuve des nations et des siècles qui roule à ses pieds. »
Le palais fut aussi le lieu qui, par son ampleur, permit « une transformation générale du mode de vie et d'organisation de l'Église ». Il facilita la centralisation des services et l'adaptation de leur fonctionnement aux besoins pontificaux en permettant de créer une véritable administration.
Les effectifs de la Curie, de 200, à la fin du XIIIe siècle, étaient passés à 300 au début du XIVe siècle, pour atteindre 500 personnes en 1316. À cela s'ajoutèrent plus d'un millier de fonctionnaires laïcs qui purent œuvrer à l'intérieur du palais
Le musée du Petit Palais à Avignon, en Provence-Alpes-Côte d'Azur, est un musée consacré à la peinture et à la sculpture médiévales et de la première Renaissance, rassemblant environ 390 peintures et 600 sculptures, ouvert en 1976 dans une livrée cardinalice contemporaine du séjour des papes dans la cité et donc des collections qu'elle met en valeur.
L'hotel des monnaies
L'inscription dédicatoire sur la façade permet de savoir que l'hôtel a été construit en 1619. Le bâtiment a été commandité par le cardinal Scipion Borghese, légat du pape Paul V. Il n'existe cependant aucun document permettant d'attribuer la construction de l'hôtel des Monnaies à un architecte car les archives de la vice-légation ont été détruites par les troupes d'occupation de Louis XV au XVIIIe siècle puis pendant la Révolution.
C'est, suivant Joseph Girard, « la plus italienne des façades d'Avignon ». Il émet la proposition que ses ornements hors d'échelle ont pu être sculptés par Simone Bartolacci, sculpteur florentin, qui est présent à Avignon entre 1615 et 1634.
L'hôtel des Monnaies devient la caserne des Chevau-légers pontificaux en 1760 qu'ils partagent avec la Maréchaussée en 1768 lors de l'occupation française.
À la suite de la Révolution française qui voit le rattachement d'Avignon à la France, l'hôtel des Monnaies devient la caserne de la Gendarmerie de 1790 à 1840.
On est frappé par l'austérité du palais et l'exubérance de l'hôtel des monnaies.
Nous partons quelques jours pour les Alpes du sud. je vous programme quelques articles a bientôt !
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Au xixe siècle, Vichy est une station à la mode, fréquentée par les célébrités de l'époque. Mais ce sont les séjours de Napoléon III, entre 1861 et 1866, qui vont entraîner une profonde transformation de la ville : la rivière Allier est endiguée. Des parcs à l'anglaise de treize hectares remplacent les anciens marécages.
Le long des axes urbains nouvellement tracés, sont édifiés des chalets et des pavillons pour loger l'empereur et la suite impériale. La ville devient l'une des stations les plus prisées des coloniaux d'outre-mer, et plus particulièrement d'Algérie, suivant les avis médicaux qui préconisent l'eau de Vichy pour ses vertus prétendument thérapeutiques, au traitement des maladies coloniales et tropicales, notamment du paludisme.
l'un des pavillons thermal construit dans le style mauresque
Ces maisons sont appelées "chalet" mais rien de montagnard la dedans
tout cela est trés bien entretenu par leur propriétaire et peut être sont ils loués pour des curistes fortunés
un peu plus de style montagne
Ces chalets sont incontournables à Vichy et ils sont considérés comme monuments historique comme le montre l'écusson en bas à droite
Dans une autre rue, ce sont les Cottages Anglais qui nous charment d'autant qu'ils sont abondamment fleuris
Jai beaucoup aimé, ils sont décorés de rosiers grimpants
La garde rapprochée de Napoléon III étaient assurée par des anglais
j'aurais du faire enlever toutes ces voitures afin de prendre de belles photos hihihihi !!!
Super celle la, avec son Bow Windows.
Ces chalets style anglais sont construits le long de la Rue Alquie
Voila quelques détails de la ville actuelle qui a eu ses heures de gloires et d'autres moins bonne qui nous donnent quelques frisons dans le dos.
Avec la débâcle de juin 1940, les troupes allemandes progressent rapidement vers le sud. Après avoir pris Moulins, elles entrent dans Vichy, déclarée « ville ouverte » le 19 juin 1940. À la suite de l'armistice signé le 22 juin, le gouvernement français quitte Bordeaux où il s'était replié car désormais située en zone occupée et part pour Clermont-Ferrand, située en zone libre. Mais la ville ne convient pas. Sa forte population ouvrière avec les usines Michelin et le manque d'hébergement de qualité ne plaisent pas aux membres du gouvernement. Plusieurs villes importantes en zone libre sont envisagées mais tour à tour écartées : Lyon, la ville étant le fief d'Édouard Herriot que Pétain n'apprécie pas, Marseille, Toulouse et Perpignan jugées pas assez sûres (trop à gauche, trop de population émigrée ou de républicains espagnols…) ou trop excentrées.
Le gouvernement va finalement s'installer à Vichy, situé à une heure de route au nord de Clermont-Ferrand. La deuxième capacité hôtelière du pays, avec notamment de somptueux palaces, qu'offre la station thermale et sa relative proximité avec Paris (4 h 30 par le train) et de la ligne de démarcation avec un passage au pont Régemortes, à Moulins, à 50 km au nord de la station thermale, emportent la décision du gouvernement. De plus, la ville est déjà en partie dirigée par l'État français par l'entremise de la Compagnie fermière de Vichy. La station thermale présente aussi d'autres avantages. Elle dispose d'un central téléphonique très moderne couplé à l'hôtel des postes, construit en 1935 par Léon Azéma pour faciliter les communications de la clientèle internationale des palaces, central qui permet de joindre le monde entier. Elle est située à quelques kilomètres du nœud ferroviaire de Saint-Germain-des-Fossés, croisement des liaisons nord-sud (Paris-Clermont-Béziers) et Ouest-Est (Nantes et Bordeaux - Lyon), ce qui se révélera utile pour la venue des députés et sénateurs en début juillet 1940.
Palais des Congrès et l'opéra où le Parlement donna les pleins pouvoirs constituants au maréchal Pétain, en 1940.
Le 1er juillet 1940, le gouvernement prend possession de très nombreux hôtels. 670 parlementaires (députés et sénateurs) rejoignent Vichy le 4 juillet pour la réunion des deux chambres en Assemblée nationale. Les 9 et 10 juillet 1940, dans la salle de l'opéra de la ville, les parlementaires votent les pleins pouvoirs constituants au Maréchal Pétain. Le régime républicain est aboli de facto, le lendemain, par la promulgation du premier Acte constitutionnel de Vichy ; l'État français, avec à sa tête Philippe Pétain, chef de l'État, le remplace. Seuls 80 parlementaires sur les 649 suffrages exprimés affirment leur opposition.
Mais cela est une autre histoire............................
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Nous étions il y a une quinzaine de jours dans l'Allier et plus précisément à Vichy, "la reine des villes d'eaux".
Bâtie sur les bords de la rivière Allier, à la limite de la plaine de la Limagne et de la montagne bourbonnaise, elle est connue dès l'Antiquité pour ses sources. D'abord auvergnate, la ville et son château furent rattachés au duché de Bourbon en 1314 puis à la province du Bourbonnais sous l'Ancien Régime. Elle reste parallèlement dans le diocèse de Clermont jusqu'en 1823, année où elle intègre celui de Moulins. Elle devint une importante station thermale dans la seconde moitié du XIXe siècle.
C'est Vichy et son centre thermal dont je vous parlerais aujourd'hui
le Parc des sources est ceinturé d'une galerie couverte métallique. Longue de 700 mètres, elle est ornée d'une frise de chardons et fut réalisée par le ferronnier Émile Robert.
En 1799, Laetitia Bonaparte, mère de Napoléon, fait une cure en compagnie de son fils Louis. Sous l'Empire, le parc des sources est aménagé sur l'ordre de l'empereur (décret de Gumbinen de 1812).
il fait bon se promener dans cet immense parc
À partir de la fin du XVIe siècle et du début du XVIIe siècle, les curistes viennent se soigner à Vichy où les eaux acquièrent rapidement une réputation quasi miraculeuse, en particulier après l'ouvrage La Mémoire renouvelée des merveilles des eaux naturelles, publié en 1605 par Jean Banc.
Le premier établissement thermal, créé au début du XVIIe siècle, est nommé « la Maison du Roy ». Certains intendants, tel Fouet, Chomel, inaugurent une codification des cures et donnent un grand lustre à la station en y attirant des personnalités importantes.
au centre un magnifique kiosque a musique
C'est la marquise de Sévigné, curiste en 1676 et 1677, qui popularise la description des prises d'eaux et bains dans ses lettres. Les eaux de Vichy, la guérissant d'une paralysie des mains, lui permettent en effet de retrouver l'usage de sa plume.
et voici la non moins célèbre pastille de Vichy
En 1761 et 1762, les princesses Adélaïde et Victoire, filles de Louis XV, viennent une première fois séjourner à Vichy, elles y reviennent en 1785 au couvent des Capucins. L'établissement de bains leur a paru fort incommode avec ses abords boueux et un logement insuffisant en qualité comme en quantité pour le grand nombre de curistes. À leur retour à Versailles, elles demandent à leur neveu Louis XVI de faire édifier des thermes plus spacieux et plus agréables ; ils sont construits en 1787 selon les plans de l'ingénieur et architecte Janson qui édifie la galerie Janson (57 m de long et 5 m de large)
Après le Second Empire, la Belle Époque marque la seconde grande campagne de construction de Vichy. En 1903 sont inaugurés l'opéra, de style Art nouveau, le hall des sources et le grand établissement thermal de style oriental, dont le hall est décoré par le peintre Alphonse Osbert de 1902 à 1904.
Au XIXe siècle, Vichy est une station à la mode, fréquentée par les célébrités de l'époque. Mais ce sont les séjours de Napoléon III, entre 1861 et 1866, qui vont entraîner une profonde transformation de la ville : la rivière Allier est endiguée
Plusieurs kiosques dans le parc nous proposent des articles de luxe
Et la galerie couverte nous emmène jusqu'au centre thermal du parc des Sources, il y en a plusieurs, de différents styles architecturaux.
Allez venez boire un petit coup
l'eau est gratuite, mais les verres sont payant : 30 centimes le verre en carton, mais on peut boire autant de verre que l'on veut.
Vichy accueille 40 000 curistes en 1900, près de 110 000 à la veille de la Première Guerre mondiale. La vie thermale connaît son apogée dans les années 1930.
Le succès du traitement thermal conduit les responsables de la Compagnie Fermière à augmenter la capacité des établissements en créant les Bains Callou et les Bains Lardy. L'opéra, inauguré en 1903, accueille tous les plus grands noms des scènes internationales : Vichy devient la capitale estivale de la musique en France.
allez ! à votre santé ! c'est la source Vichy-Celestins
a bientôt !
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Le jardin est vert et tout a coup il s'illumine de belles couleurs.
mes roses souffrent beaucoup de la chaleur, en général les premières floraiosn se font au plus frais printemps
A bientôt
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La salle capitulaire, ou salle du chapitre, est la salle où la communauté religieuse se réunit quotidiennement. Au matin, on y discute de l'actualité de l'abbaye : admission au noviciat, élection, réception de personnalité, lecture des annonces ou proclamations de l'évêque ou du pape. En soirée, on y lit un chapitre de la règle ainsi que des textes édifiants. C'est le lieu le plus important concernant l'organisation de la vie monastique.
C'était la première fois que je voyais une salle capitulaire avec d'aussi belles fresques. Elles représentent la passion du Christ
Scène du lavement des pieds
La salle capitulaire actuelle de Fontevraud a été érigée sous l'abbatiat de Louise de Bourbon, entre 1534 et 1575 à partir de 1541. Elle est constituée d'une voûte d'ogives à six travées retombant sur des culots ainsi que sur deux colonnes, courtes et fines. Elle s'ouvre par un portail richement orné ainsi que par deux baies géminées de part et d'autre de celui-ci
le baiser de Judas
Les peintures de la salle ont été réalisées par Thomas Pot vers 1565. Elles représentent la Passion du Christ jusqu'à l'Assomption de la Vierge. À l'origine, Thomas Pot représente Renée (à la gauche de Jésus) et Louise de Bourbon (à la droite de Jésus Christ) au milieu des scènes du Nouveau Testament, la crucifixion. Par la suite, d'autres abbesses de Fontevraud sont rajoutées aux différentes scènes
le dormission de la vierge Marie
Les peintures sont fortement dégradées ou partiellement détruites lors de la transformation de la salle en magasin à vivres au XIXe siècle. L'aménagement d'une cuisine dans la salle de la communauté participe à faire naître des conditions d'humidité dommageables
la crucifixion
Une première campagne de restauration des peintures est entamée en 1952 à l'initiative de l'inspecteur des Monuments historiques, Pierre-Marie Auzas. Le restaurateur Gaston Chauffrey décrit en octobre 1952 les peintures comme « très malades », mais leur donne selon lui un « aspect satisfaisant » et une lisibilité à la fin de son travail en juin 1953
la déposition de la croix
En 1969, Pierre-Marie Auzas s'alarme une nouvelle fois des dégradations causées par la fuite d'une citerne, notant que par endroits, « la pierre est pulvérisée et la peinture s'épluche ». Plusieurs bilans sanitaires et examens sont mis en place pour étudier les dégradations et proposer les mesures de restauration adéquates.
la mise au tombeau
Les premiers travaux de restauration débutent en juin 1978 par la scène de la Crucifixion, et se terminent en 1984. Mais en 1986, on constate des décollements dus au mauvais vieillissement du vernis de protection.
la résurrection
Une nouvelle campagne de restauration est lancée en 1990. Les peintures sont désormais mieux documentées. Les restaurateurs peuvent notamment s'appuyer sur les reproductions des portraits des abbesses réalisées à l'initiative de François Roger de Gaignières au xviie siècle.
l'ascension
Les restaurations sont terminées en 1991
détails du portail d'entrée de la salle capitulaire
portail d'entrée de la salle.
baies géminées
la cuisine
Le bâtiment a été construit entre 1160 et 117013, à l'angle sud-ouest du cloître, dans la continuation du réfectoire.
La cuisine contient huit absidioles, dont cinq sont encore conservées. Elle se fonde sur un carré s'élevant de chaque côté en arc légèrement brisé, complété par un octogone dont chaque angle est constitué d'une colonne engagée. Chaque côté de l'octogone accueille une absidiole, chacune ouverte de trois petites baies et hébergeant une hotte.
Grâce à un système de trompes, le carré d'arc brisé soutient la cheminée centrale.
La destination exacte de la cuisine fait débat. Eugène Viollet-le-Duc propose, dans son Dictionnaire raisonné de l’architecture française, une théorie sur l'évacuation de la fumée par les différentes cheminées, partant du principe que chaque absidiole était utilisée comme foyer. L'historien de l'art Michel Melot propose comme hypothèse l'utilisation du bâtiment comme fumoir.
A bientôt.
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Quelques jours de balade entre deux rendez vous médicaux, on prend la direction de notre chère Auvergne. Facile !! elle commence à deux pas de la maison. Nous cherchions bien loin un endroit cool au bord de l'eau, pas vraiment au bord mais pas loin. Et en rentrant ....... Donc Vichy, Cusset dans l'Allier, puis un château par ci un autre par là, une Abbaye, petite mais mignonne. Et puis avant de rentrer nous faisons une halte pour passer une dernière nuit sur le chemin du retour, et nous l'avons trouvé ce lac, par hasard à moins de 50 km de la maison. Trés bucolique, une plage assez grande, mais pas pour nous, des pécheurs sympas, chut! et puis plus loin, des habitantes fort bavardes.....
ratée mais l'herbe est belle
la voici !
une autre
je ne saurai vous dire si ce sont des grenouilles ou des crapauds
j'ai une passion pour les grenouilles. Maman m'appelait "sa grenouille"
là c'était pour photographier les petites libellules, pas trés réussie, une seule n'a pas bougé !
Juste un petit coucou de retour.
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L'abbaye royale Notre-Dame de Fontevraud est une ancienne abbaye d'inspiration bénédictine, siège de l'ordre de Fontevraud, fondée en 1101 par Robert d'Arbrissel et située à Fontevraud, près de Saumur en Anjou (actuel Maine-et-Loire). Site de 13 ha établi à la frontière angevine du Poitou et de la Touraine, elle est l'une des plus grandes cités monastiques d'Europe
Afin de vous situer l'église et les principaux cloitres, voici une photo de la maquette.
je n'y ai pas retrouvé la paix et la sérénité comme à l'Abbaye de Fontenay. Ce qui m'importait était de me recueillir devant le gisant d'Aliènor d'aquitaine.
Initialement monastère mixte, accueillant femmes et hommes au sein des mêmes bâtiments, puis agrandi en monastère double dans l'esprit de la réforme grégorienne, l'abbaye de Fontevraud va s'attirer la protection des comtes d'Anjou puis de la dynastie des Plantagenêts qui en feront leur nécropole.
Après un déclin à partir du xiiie siècle, l'abbaye est dirigée pendant presque deux siècles par des abbesses issues de la famille royale des Bourbons.
L'ensemble monastique se compose aujourd'hui des deux monastères encore subsistants sur les quatre d'origine. Le plus important est le monastère du Grand-Moûtier, ouvert au public, qui héberge l'église abbatiale.
L'enceinte de Fontevraud a compté jusqu'à quatre monastères. Seuls deux subsistent actuellement : le Grand-Moûtier et le prieuré Saint-Lazare. Le couvent de La Madeleine a été sérieusement endommagé et remanié à l'époque moderne, et Saint-Jean-de-l'Habit a été totalement détruit .
L'abbaye de Fontevraud est fondée en 1101 par le moine et ermite Robert d'Arbrissel. En 1096, celui-ci reçoit du pape Urbain II en visite à Angers, une mission de prédication apostolique. Devenu prédicateur itinérant, Robert d'Arbrissel se voit bientôt suivi par une foule nombreuse, d'hommes et de femmes de différentes classes sociales. Il s'installe entre 1099 et 1101 dans un vallon nommé Fons Ebraldi ; lors de l'installation de la communauté fontevriste en 1101, l'abbaye de Fontevraud dépend de Gautier de Montsoreau, vassal direct du comte d'Anjou.
La transformation de l'abbaye en nécropole dynastique des Plantagenêts participe grandement à son développement. Henri II, marié à Aliénor en 1152, y fait sa première visite le 21 mai 1154. Le couple confie à l'abbaye ses deux plus jeunes enfants : Jeanne, née en 1165, et Jean, futur roi d'Angleterre. Ce dernier quitte l'abbaye après cinq ans, tandis que Jeanne ne la quitte qu'en 1176, pour son mariage.
Aliénor d'Aquitaine et son époux Henri II Plantagenet reine et roi d'Angleterre
12ème siècle
Richard Coeur de Lion, et Isabelle d'Angoulème, Epouse de Jean sans Terre qui a régné aprés sont frère Richard.
J'ai une passion pour cette femme qui a été Reine de France puis a divorcée pour épouser Henri Plantagenet qui allait devenir roi d'Angleterre. Ils eurent 3 fils qui ont tous été rois d'Angleterre. Mon livre de chevet est sa biographie non romancée, écrite par Ralph V. Turner
Richard Cœur de Lion meurt le 6 avril 1199, à Châlus-Chabrol. Sur le choix de sa mère Aliénor, la dépouille dont le cœur et les entrailles ont été prélevées, est conduite à Fontevraud et enterrée le 11 avril aux côtés de son père. En revanche, son cœur est enterré dans la cathédrale Notre-Dame de Rouen et ses entrailles vraisemblablement dans la chapelle aujourd'hui ruinée du château de Chalus-Chabrol.
En 1200, de retour de Castille, Aliénor décide, à plus de 80 ans, de se retirer de manière quasiment définitive à Fontevraud. Elle meurt quatre ans plus tard, le 1er avril 1204 à Poitiers, et est enterrée aux côtés de son mari, de son fils Richard et de sa fille Jeanne. Après la mort d'Aliénor, ses fils et petit-fils continuent de considérer l'abbaye comme une nécropole familiale.
En 1250, Raymond, comte de Toulouse et fils de Jeanne, est enterré à sa demande auprès de sa mère. En 1254, Henri III, fils de Jean, organise le transfert de la dépouille de sa mère Isabelle d'Angoulême, alors enterrée en Angoumois à l'abbaye Notre-Dame de La Couronne, jusqu'à Fontevraud. Son cœur y est déposé à sa mort
Un des cloitres de l'Abbaye, il y en eu jusqu'a 5
La fin de l'empire Plantagenêt met l'abbaye dans une situation délicate. Ses possessions s'étendent sur tout le domaine de l'ancien territoire plantagenêt, y compris en Angleterre. Les possessions angevines et tourangelles sont passées du côté du roi de France, mais celles de Poitou et de Guyenne sont encore sous influence anglaise plus ou moins forte qui participe à une sorte d'anarchie féodale en Aquitaine
À son arrivée à la tête de l'abbaye en 1457, l'abbesse Marie de Bretagne, fille de Richard d'Étampes s'empresse de réformer l'ordre: elle supprime les prieurés trop pauvres et rédige une nouvelle règle. Aussitôt sacré, le roi Louis XI n'hésite pas à soutenir l'abbaye
Voici le chevet de l'église de l'abbaye.
Je voulais surtout vous parler de l'Abbaye de Fontevraud en tant que nécropole Plantagenet. Mais cette Abbaye a une longue histoire.
La belle mère de Gautier, Hersende de Champagne, devient la première grande-prieure de l'abbaye lorsque Robert d'Arbrissel décide de reprendre son itinérance. Robert d'Arbrissel y fonde avec ses disciples une maison mixte, rompant avec les règles du monachisme ordinaire. En période de réforme grégorienne, l'attitude de Robert lui attire les foudres de la hiérarchie religieuse : la cohabitation d'hommes et de femmes dans un même lieu passe mal, et Robert scandalise quand il dort au milieu des femmes. Cette proximité entre les sexes voulue par Robert s'explique par la pratique par l'ermite du syneisaktisme, pratique ascétique qui consiste en la cohabitation chaste de personnes de sexe différent afin de surmonter les tentations charnelles.
Il s'est passé bien des choses dans cette Abbaye, je vous en parlerais bientôt.
bonn fin de semaine
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Je ne pensais pas revenir si vite, mais je suis moins bête que je pensais, et mon changement de PC s'est fait plus vite que prévu et ma mise a niveau coté windows 11 a été presque parfaite. Aprés 9 annèes de bons et loyaux services mon ACER a rendu l'âme. Heureusement mes fichiers étant tous sur un disque dur externe. J'ai sauvé les meubles. Quant à mes mots de passe, ils sont tous noté ... heureusement.
Tout cela pour vous dire que je suis presque OK. Encore quelques balbutiements .... mais je devrais être au top bientôt.
Quant à ma voiture, c'était l'ABS qui avait bloqué les freins, passons.... ma compagnie d'assurance devrait prendre en charge les dégâts de l'incendie.
Donc aujourd'hui, je vous envoie des photos de mes iris et lupins qui fleurissent mon massif central.
un coquelicot s'est perdu dans mes iris
je le découvre, je l'adore
lupin rose
géranium vivace
j'aurai voulu vous mettre d'autres photos mais overblog fait des caprices il ne veut pas certaines de mes photos.
A bientôt !
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