• Je l'ai découverte par hasard sur Google Earth. Ensuite je l'ai un peu chercher il y a un mois lors de ma dernière visite chez mon docteur NO et enfin hier je l'ai trouvée.



    La voici, mais me direz vous, "Qu'a t elle de particulier" ?



    Un immeuble a été constuit de part et d'autre de la petite maison et par dessus.



    Elle est située Boulevard des Brotteaux dans le 6 ème arrondissement de Lyon, non loin de la Part Dieu



    Je ne sais si ce sont les propriéraires qui ont fait échec au promoteur, ou l'architecte qui a décidé de cette construction eà cheval, n'anmoins j'ai trouvé cela trés pittoresque et je m'empresse de vous le montrer.
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Communay est une commune du Rhone que Robert a habité de 1974 à 1996, en ce qui nous concerne Pierre et moi nous y avons vécu de 1991 à 1997.
    Pierre y a fait toute sa scolarité primaire.

    Cette commune n'a rien d'extraordinaire si ce n'est un chateau d'eau



    Une église romane dont la construction a commencé aux alentours du 10 ème siècle, mais qui a été remaniée au cours des siècles.



    Eglise Saint Pierre, qui était la chapelle du chateau, elle est construite sur un promontoire qui domine le village.



    J'aime beaucoup sa simplicité.








    Et voila on en a fait le tour.
    Communay était aussi une ville minière.

    Depuis très longtemps les agriculteurs avaient remarqué qu’en certains endroits une terre noire affleurant la surface brûlait bien et dégageait une forte chaleur. Dès 1748 de premières recherches de charbon sont faites. Mais c’est en 1833 qu’une ordonnance royale accorde la concession des mines et les premiers véritables travaux sont entrepris. Après de nombreuses péripéties dans son exploitation, la mine fermera définitivement en 1951.
    C'est pour travailler à la mine que les arrières grands parents de Robert, on quitté l'Aveyron et le Tarn et sont venus s'installer dans ce village.

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Le voici ce cheval de bronze que tous les lyonnais connaissent.



    C'est bien Louis XIV qui y est représenté. Mais ce n'est pas la statue originale.
    La place Bellecour,  devient en 1715  "Place Royale". Puis nommée "place Louis-le-Grand", elle est ornée d'une statue de bronze représentant le roi et réalisée par Martin Desjardins en 1713.

    A la  Révolution, un autel de la Liberté y est élevé le 14 juillet  1790. La place change alors de nom et devient "place de la Fédération". On y installe une guillotine en 1792 . La statue royale est détruite en 1793 afin d'en faire des canons.



    En 1825, la statue actuelle, œuvre de François-Frédéric Lemot, est installée sur la place. Coulée à Paris, elle est transportée à Lyon en douze jours, sur un attelage trainé par vingt-quatre chevaux. L'entrée de la statue dans la ville fut une occasion de fêtes qui attirèrent un grand concours de spectateurs.

     


     


    Il est traditionnel à Lyon de se donner rendez-vous "sous la queue du cheval".

     


    Légende urbaine


    La statue de Louis XIV est à la base d'une légende urbaine lyonnaise particulièrement tenace. On raconte en effet que son sculpteur, se rendant compte qu'il avait oublié les étriers à la statue, se serait suicidé.

    En réalité, si Louis XIV n'a pas d'étrier, c'est parce qu'il est représenté à la romaine, c'est-à-dire à cru, sans selle ni étriers. Quant à François-Frédéric Lemot, il est mort quelques années après avoir achevé la statue de mort naturelle, en 1827.

     



    Alors rendez vous sous la queue du cheval !!!
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • S'il y a un endroit que tout lyonnais connait, c'est bien cette place située dans le centre ville de Lyon.



    Photo prise le dos à la basilique de Fourvière.

    La place Bellecour ou place Louis-le-Grand est la plus grande place de Lyon (62 000 m²) et la troisième plus grande place de France, après la la place des Quinconces à Bordeaux  (126 000 m²) et la place de la Concorde à Paris  (86 400 m²). Avec une taille de 310 mètres par 200 mètres, elle est plus grande que le Zocalo de Mexico (230x192) et que la place Rouge de Moscou (330x70). C'est également la plus grande place piétonne d'Europe, les places précédemment citées pouvant accueillir des véhicules, au contraire de la Place Bellecour.



    En son centre se trouve une statue équestre de Louis XIV.

    Petite anecdote : Pierre-Mickael a pris deux heures de colle car il a contredit sa maitresse en CE2 qui lui avait dit que c'était la statue de Charlemagne qui se trouvait à cet endroit. Il a fallu faire un mot à la maitresse afin qu'elle fasse les recherche nécessaire à son érudition.



    Voici la basilique de Fourvière qui domine la place Bellecour

    Un peu d'histoire :

    A l’époque gallo-romaine, le quartier de Bellecour est une île formée de terres alluviales. Le quartier connait alors une activité romaine, militaire et marchande : on y a retrouvé des Canabae, baraques qui servaient d’entrepôt aux négociants et aux nautes gallo-romains.

    A la fin du XIIe , l'archevêque de Lyon possède une vigne appelée bella curtis (beau jardin). Abandonné, l'endroit redevient marécageux.

    En 1562, le baron des Adrets attaquant Lyon, installe ses hommes d'arme sur « le pré de Belle-court ».

    En 1604, Henri IV pousse le Conseil de la ville à acquérir le pré afin d'y aménager une place publique. Mais les héritiers de l'archevêque se disputent lors d'un interminable procès.

    Bien des années plus tard, en 1708, c'est finalement Louis XIV qui obtient la possession définitive de la place. En 1715, elle devient place Royale. Nommée "place Louis-le-Grand", elle est ornée d'une statue de bronze représentant le roi et réalisée par Martin Desjardins. Autour de la place sont alors construits des édifices, dont les façades sont dessinées par le premier architecte du roi Robert de Cotte.

    A la Révolution, un autel de la Liberté y est élevé le 14 juillet  1790. La place change alors de nom et devient "place de la Fédération". On y installe une guillotine en 1792. La statue royale est détruite en 1793, et la place devient "place de l’Egalité".

    Le 21 juin 1800, Bonaparte  de passage à Lyon après sa victoire de Marengo, pose la première pierre des nouveaux édifices. La place porte alors le nom de "place Bonaparte" et devient logiquement un peu plus tard "place Napoléon".

    A la Restauration, en 1825, une nouvelle statue de Louis XIV est érigée sur la place.

    Ce n'est que sous la Troisième République que la place prend son nom actuel : "place Bellecour".

     

    Je vous au déja montré les kiosques de marchands fleurs de la place.

     




    Cette partie là, n'a jamais été touchée les marronniers et les bassins existaient déjà lorsque j'étais petite. Par contre le centre a été longtemps en travaux car un parking souterrain et le métro sont installé en dessous.
    Au XIIIV ème siècle la place était planté de tilleuls. Un café restaurant y était installé qu'on appelait " La reine des tilleuls".

    La place Bellecour constitue le point kilométrique 0 de Lyon : toutes les distances sont comptées à partir de ce point.


    Une autre statue, représentant le Petit Prince et Antoine de Saint-Exupéry, est située à l'extrémité ouest de la place. Elle a été posée en 2000 pour le centenaire de la naissance du célèbre lyonnais.






    Une autre fois je vous parlerais du cheval de bronze et de son histoire.
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Je me suis demandée ce qu'était ce monument ,



    Hier en allant prendre mon bus aprés ma visite avec mon Docteur NO cynergéticien, j'ai vu cet ensemble prés du clocher de la Charité.

    C'est un ensemble de piliers plats, avec des pierres incrusrées sur l'un des bords.



    Sur certains piliers, des poèmes ou citations sont inscrites.



    Je me trouvais en fait devant le Mémorial Arménien en hommage aux victimes du génocide Arménien inauguré le 24 avril 2006.

     
    Ce génocide a été perpétré par les turcs de 1915 à 1916.

    pour en savoir plus. allez ICI



    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Aprés le Rhône tumultueux, nous voila àvec la douce Saône. qui est représentée par une belle jeune femme.


    Belle jeune femme toujours accompagnée d'un Lion.




    Cachons ce sein que nous ne saurions voir...



    Un main ouverte, tendue, comme pour une offrande.



    Peu vétue, mais trés pudique l'allégorie de la Saône est installée au pied de la statue de Louis XIV, coté Ouest, place Bellecour.



    La corne d'abondance, légumes fruits, vignes, céréales.



    Et le Lion qui représente la ville de Lyon.

    La Saône, cette rivière, qui a donné, entre autre, son nom au département de la Haute-Saône, est considérée comme l'une des plus belles rivières naviguables du monde. Depuis sa source dans les Vosges, jusqu'à La Mulatière où elle se jette dans le Rhône, à l'altitude de 158 mètres. la voie navigable compte 356 km et seulement 22 écluses (dont 110 km uniquement en Haute-Saône, où elle ne présente que 17 écluses).

    Elle prend sa source à Vioménil au pied de la falaise des monts Faucilles (département des Vosges) à 392 m d'altitude,  C'est une rivière de 480 km de longueur,[1] dont le Doubs est le principal affluent. Avant la confluence située à Verdun-sur-le-Doubs en Saône-et-Loire, la Saône est appelée petite Saône, ce qui montre bien la forte contribution de la rivière franc-comtoise, dont le débit moyen interannuel est légèrement plus fort (175 contre 160 m³/s) : certains en concluront que la Saône se jette dans le Doubs et non l'inverse ! En termes de taille de bassin versant, la Saône domine avec 11 500 km² contre 7 500 pour le Doubs..

     

    Pour les lyonnais les bords de Saône sont synonyme de guingettes, de fritures, de ballades en barque.

    Les quais de Saône à Lyon sont à voir, il y flotte un air florentin. C'est un vrai plaisir des yeux.



    Prochainement je vous parlerais de la place Bellecour.
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • On ne peut pas gagner chaque fois,  7 ans d'affilé c'est déja bien.
    Bordeaux a bien mérité de gagner, c'est un magnifique Champion.
    Mais le plus difficile a supporter est la départ de Juninhio. Pour tous les fans de l'OL, il est "The Best".
    Son charisme est exceptionnel, humilité, gentillesse, il est vraiment adoré des lyonnais, et il nous le rend bien.



    Bonne route à toi et reviens nous vite, tu nous manque déjà.

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • De ma dernière visite en ville, j'ai ramené beaucoup de photos, et ette fois je me suis appliquée aux détails.
    Voici les allégories du Rhône , la Saône suivra.



    Voici donc le Rhône, representé par un bel homme à la barbe fournie et front ceint d'une pampre de vigne et de raisin. Couché sur un Lion comme il se doit.
    (Les petites minettes à droite, sont contemporaines).



    Il est tout de même pas tout jeune, ce Rhône là, ce n'est pas un éphèbe. un homme d'age mur, mais encore bien baraqué.
    Cette statue située au pied de celle de Louis XIV à cheval a été faite par les frères
    Nicolas et Guillaume Costou en  1720.



    Quelques  détails, ce Rhône là a la cuisse  patinée par maint et maint caresses.



    Et la main tendue vers je ne sais quoi, des imbéciles lui avait fardé les ongles, quelle tristesse.



    Avec tout les bienfaits qu'apporte l'eau du Rhône pour les potagers, les vignes, le poissons, les fuits, les céréales etc...



    Et bien entendu, le Lion superbe et généreux, dont les yeux ont été également maquillés certainement par les mêmes imbéciles.

    A suivre pour La Saône...







    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Depuis que je suis née, j'ai le souvenir de les voir au même endroit, les kisoques à fleurs de la place Bellecour.





    Et Fourvière monte toujours la garde au dessus de la ville.


    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Avant 2007 les quais du Rhône et de la Saone c'était cela !



    Des voitures, des voitures....



    Le dimanche, il y avait moins de voitures, normal, les lyonnais ne sont pas au travail ou dans les magasins.



    Maintenant les berges du Rhône on été rendu aux lyonnais. Photo prise du pont de la Guillotière



    On peut même se baigner les pieds



    D'ailleurs petits et grands ne se gènent pas il fasait trés chaud ce jour là.



    Même les pigeons se reposent au soleil



    Et pour la piste cyclable, on sait si on descend à Marseille ou si on monte à Genève.
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Voici la gros bouquet ou plutot l'arbre bouquet , il est placé au dessus d'une trémie sur la route qui traverse Lyon et qu'on appelle "l'axe nord sud" cette route permet de prendre le tunnel de Fourvière pour partir sur Paris, puis le tunnel de la Croix rousse pour partir le long de la Saone.
    Ces tunnels sont réputés pour les bouchons qu'ils occasionnent, mais maintenant il existe une rocade qui contourne Lyon par l'est, les bouchons se sont déplacés.



    Voici l'arbre fleurs, il est planté a proximité de la place de la Charité que je vous montrais hier.
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Il y avait bien 15 ans que je n'avais pas pris le bus  et cet aprés midi j'avais rendez vous avec mon Sinergéticien en plein centre ville, à Lyon.

    Me voila donc partie en bus, facile il passe à deux pas de la maison, et pas de problème de parking.
    Ne pas oublier mon APN  et des chaussures plates car j'avais bien l'intention de marcher dans les rues de ma bonne ville.


    Des la soitie du bus on est accueilli par le clocher de la Charité. C'est tout ce qui reste de l'hopital du même nom.

    L'hospice de l'aumône générale ou de la Charité, construit en 1625 avec une longue façade sur le Rhône, a été détruit en 1934 pour céder la place à la grande Poste réalisée par l’architecte Roux-Spitz. Seul le clocher de 1665, inspiré, dit-on, par le Bernin, a été conservé sur cette place qui s’étend, depuis 1993, jusqu’à un débarcadère installé sur le Rhône.

     



    Cette esplanade était il y a plus de 20 ans le terminus des bus, c'est beaucoup plus agréable maintenant au fond des jets d'eaux particulièrement agréable en ce jour de grosses chaleur.




    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Il ne faut pas se moquer impunément d'un OL blessé avec des paroles arrogantes comme l'a fait bien maladroitement,  le sympatique président de l'OM.

    On n'est plus les meilleurs, mais nous savons toujours faire de l'excellent football.

    Nous ne seront pas champion de france une 8 ème fois, il fallait bien que cela arrive un jour.
    Je pense que Bordeaux le sera, ils sont cette année les meilleurs.



    Juni a marqué sont 99 ème but.



    Quant a Karim il renoue avec le succés.

    Je pense aussi à tout les autres joueurs qui ont fait l'OL tel qu'il est, en particulier



    Sydney Govou qui est mon préféré.

    Allez l'OL

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Voici un sport peu connu dans la moitié nord de la France, mais qui fait les beaux jours de la vallée du Rhône  et des bords de la méditérannée.

    Il se pratique sur un plan d'eau aménagé à cet effet.



    Statues en acier inoxidable, installé prés du stade de joutes

    Si les origines des joutes peuvent remonter jusqu'à l'Antiquité, c'est depuis le XIIe siècle qu'on les connaît en France et particulièrement à Lyon. C'est en effet à l'occasion de la célébration du millénaire des premiers martyres chrétiens que sera organisée une grande joute en 1177. Cinq siècles plus tard, une autre grande joute sera donnée en l'honneur du roi Francois Ier.

     


    C'est au XIXe siècle que se constituent des sociétés de jouteurs, à Lyon et dans les environs. Ces sociétés vont instaurer leurs propres règles, créant ainsi la joute lyonnaise et la givordine.

     

     

    Voice le bassin de joutes

     

     

    Les gradins qui vont bien avec l'environnement

     


    Les deux se pratiquent sur l'axe Rhône-Loire, mais aussi en région parisienne, ainsi que sur les rives du Lot.

    Les jouteurs sont armés de lances, d'une longueur de 14 à 16 pieds, qui servent à destabiliser l'adversaire. Dans la méthode lyonnaise, les bateaux se croisent à gauche, tandis que dans la givordine, ils se croisent à droite.

     

     

    Un à gauche

     

     

    un a droite, mais je l'ai pris sur l'autre face.

     

     

    Chacun dans son bateau -  Joutes sétoises

     

     

    En attendant l'euphorie estivale, la bassin reverdit avec le printemps

     

     

    Joutes lyonnaises sur la Saone

     

     

    Joutes Givordines sur le Rhône.

     

    Givors est une commune située au sud du département, en limite de la Loire sur le rive droite.

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire
  • Non, non, ce n'est pas de la mayonnaise, mais une pierre installée au bord du Rhône qui a donné son nom à une ville "Pierre Bénite"

    Je la connais bien, mon père y est né en 1918.



    Cette émergence de granit située en bordure du fleuve, servait d’amarre aux bateliers venus se signer avant de poursuivre un voyage qui pouvait s’avérer dangereux. La pierre a été déplacée le 9 décembre 1986 sur le côté de la mairie où elle est aujourd’hui visible.





    Un trou pour l'eau bénite du ciel, deux anneaux pour amarrer les bateaux et une croix pour prier.

    La ville a longtemps eu une tradition maraîchère qui faisait d’elle le potager de Lyon. Pierre-Bénite a même donné naissance à une laitue  réputée appelée la pierre-bénite.

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique