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    Je vous propose cette semaine, du Patrimoine, du vrai, les vieilles pierres me font kiffer grave !!!

     

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    Cette statue est devant la primatiale Saint Jean Baptiste de Lyon, on y voit Saint Jean Baptiste, baptiser Jésus.

     

     

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    Bel Hotel particulier dans le quartier Saint Jean

     

     

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    Maison des avocats

     

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    Quant à cette armoire en pierre, je n'ai pas réussi à savoir ce que c'est ? 

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    http://s.olweb.fr/ol/image/article/une/g/42/8319.jpg

     


    L'Olympique Lyonnais est en demie finale de  la Coupe de Champions.

     

    Robert en a pleuré de joie !!!! que du bonheur pour nous qui sommes supporter de ce club depuis plus de 50 ans.

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  • Non, non les USA n'ont pas déménager pour venir à Lyon, Ils y sont depuis presque 100 ans.
    Les Etats Unis sont un quartier de Lyon trés connu du mon de entier, mais oui, mais oui, pour son mudée Urbain.
    Un peu d'histoire !!

    Le Musée Urbain Tony-Garnier se situe dans le 8 ème arrondissement de Lyon, dans le Rhône. Le Musée Urbain Tony Garnier est un patrimoine populaire, architectural et urbain de premier ordre.

     

    bld états


    le boulevard des Etats unis vu depuis google earth

     

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    Le boulevard des Etats unis hier à 13 heures

     

    L'origine du quartier remonte à 1917. Le Maire, Edouard Herriot, annonce la création de logements, destinés aux ouvriers des usines, situés entre la Guillotière et Vénissieux : il s'agit des premières Habitations à Bon Marché HBM. Tony Garnier, architecte élu Grand Prix de Rome, est choisi pour coordonner cette entreprise monumentale. Le chantier débute en 1920 et le quartier est inauguré le 25 juin 1934.

    70 ans plus tard, les habitants de la Cité Tony Garnier mobilisent la Ville de Lyon, l'Opac du Grand Lyon, la Cité de la Création, et de nombreux partenaires publics et privés dans l'optique d'une réhabilitation de leur quartier. Les travaux de rénovation s'étaleront entre 1985 et 1997.

    Le quartier populaire des Etats-Unis voit naître une expérience originale d'attraction urbaine et de mise en valeur culturelle : en 1988, sur l'initiative des habitants, des artistes de la Cité de la Création conçoivent et réalisent vingt-cinq murs peints. C'est la naissance du Musée Urbain Tony Garnier. Plus de dix ans de travail seront nécessaires à la consécration de cette muséographie innovante.

     

    Voici quelques unes de ces fresques rien que pour vous.

     

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    Face à chaque mur une plaquette nous donne quelques explications, il pleuvait et les gouttes d'eau rendent les lettres peu lisibles, par contre comme elles sont également en braille, vous pouvez lire en passant les doigts sur votre écran. Curieux les non voyants ne pouvent voir les fresques, elles sont tout de même commentées en braille ????

     

     

    Aujourd'hui, le Musée Urbain Tony Garnier propose un ensemble de vingt-cinq murs peintures murales en hommage à Tony Garnier et aux cités idéales, un appartement-musée qui restitue l'athmosphère des années 1930, un espace d'accueil et d'exposition et de nombreux projets culturels.

     

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    En récompense de sa démarche patrimoniale, culturelle et artistique, le Musée urbain Tony Garnier s'est vu décerner de nombreux prix : le Label de la Décennie mondiale pour le développement culturel de l'Unesco (1991), l'oscar du Mécénat - prix Télérama de l'Admical (1994), le Trophée du tourisme de la région lyonnaise (2002), la reconnaissance d'intérêt général et le label "Patrimoine XXe siècle" par l'Etat français (2003 et 2004).

    Le Musée Urbain Tony Garnier est un musée associatif.

     

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    Il propose des visites guidées et libres (audio-guides) toute l'année sur le thème général du quartier ou sur des thématiques plus spécifiques, adaptées à chaque public : les murs peints, ses couleurs et ses techniques; architecture et urbanisme; la cité industrielle idéale de Tony Garnier et l'utopie; l'environnement et la citoyenneté, etc.

     

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    Voici 2 murs du musée urbain,  j'ai encore beaucoup de photos à vous montrer.

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    Un quartier en centre ville, ou il fait bon vivre.

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  • .le thème de la Communauté "Photographe du Dimanche"
    proposé par Poupinette est METAL


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    La tour métallique de Fourvière.
    de loin on dirait une grosse bougie


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    C'est une tour à structure métallique d'une taille de 85,90 m et pesant 210 tonnes dont l'architecture est similaire à celle du troisième étage de la  Tour Eiffel de Paris.

    Construite de 1892 à 1894, sa construction a été soutenue par la municipalité afin d'ériger sur la colline de Fourvière un monument républicain qui s'oppose à la basilique Notre-Dame de Fourvière.

    Elle possédait, à l'époque de l' Exposition universelle  de Lyon, en 1914, un restaurant et un ascenseur hydraulique pouvant emmener 22 personnes à l’observatoire installé au sommet.

    Le 1er novembre 1953, la tour est devenue une antenne relais de la Radiodiffusion-télévision française supportant un émetteur de télévision non accessible au public.

    Elle demeure le point le plus élevé de Lyon, culminant à 372 m d’altitude.

    C'est un peu l'histoire entre Don Camillo et Peppone.



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  • Situé au pied de la colline de Fourvière, le Vieux-Lyon est constitué, du sud au nord, des quartiers Saint-Georges, Saint-Jean et Saint-Paul.

    En tout, trente-cinq hectares dont vingt-quatre de secteur sauvegardé. C'est le plus grand ensemble Renaissance de France et le deuxième d'Europe après Venise. Au début du XXe siècle, il était prévu de raser le quartier pour construire des immeubles modernes. Ce sont les guerres qui empêchèrent ce sacrilège. En 1938, Edouard Herriot, maire de Lyon, n'hésitait pas à le décrire ainsi au conseil municipal : Le Vieux-Lyon n'est qu'un ramassis de taudis, tout juste digne de l'équarrisseur . Il est vrai que la saleté repoussante et l'insalubrité qui y régnaient encourageaient ce genre de propos. Dans les projets d'urbanisme, seuls étaient sauvegardés la cathédrale, le musée Gadagne et le palais de Justice. Heureusement, en 1946, un enseignant des Lazaristes, François Pallasse, crée l'association La Renaissance du Vieux-Lyon qui oeuvre depuis à la sauvegarde et à la rénovation de ce patrimoine exceptionnel.

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    Vue panorapique  le long de la Saone de gauche à droite, le Palais Saint Jean, la Primatiale coté chevet, un rangée d'immeubles construits fin 19 ème siècle puis le Palais de Justice appelé "les 24 colonnes" au dessus la colline de fourvière avec la Cathédrale, la tour métallique et de grands batiments religieux pour la plupart.

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    l'Ancien Palais de justice de Lyon en rénovation. Ce palais, aussi nommé « Palais des vingt quatre colonnes» en raison de sa façade néoclassique composée de 24 colonnes corynthiennes, est un lieu chargé d’art et d’histoire.

    Il a été construit par Balthard en 1847, sur l’emplacement de bâtiments antérieurs qui étaient depuis longtemps le siège de la justice lyonnaise.
    Après la construction en 1995 d’un nouveau palais de Justice dans le quartier de la Part Dieu, et le transfert dans cette nouvelle cité judiciaire du tribunal de grande instance, du tribunal d’instance et du tribunal de commerce de Lyon, la cour d’appel de Lyon et la cour d’Assises du Rhône sont demeurées installées dans le palais de Justice historique.

    Je le connais bien, j'y ai été juré d'assises en 1978. ce fut pour moi un des moments forts de ma vie.

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    le plafond du péristile

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    détails du plafond. je n'ai pu le prendre de face, des échafaudages cachent la façade.

    a suivre...
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  • Le sujet de la Communauté "Photographe du Dimanche" (de Poupinette ) est  aujourd'hui : "Monstres"


    en me balladant à Saint Jean, j'ai vu sur une terrasse un curieux monstre.

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    Est ce le bon petit diable ou le méchant petit bonhomme du Seigneur des Anneaux.

    il est sur le toit de la maison de quartier de Saint Jean, non loin de la Cathédrale.

    est ce un clin d'oeil aux gargouilles de la Primatiale.

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  • je vous parlerais plus longuement de cette cathédrale mais ici j'ai voulu faire un petit montage avec photoshop element 8

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    La photo date de décembre 2009.

    la bonne femme a gauche a été photographiée en juillet 2006.

    je ne suis jamais sur mes photos, voici la meilleur façon de m'y trouver.

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  • Photo 1873

    Chose promise, chose due. Voici l'Opéra de Lyon la nuit, c'était le 5 décembre 2006.
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  • La comédie, quelle comédie ?
    c'est pour moi la place de la comédie devant laquelle se place l'Opéra de Lyon, la première fois et la seule que je suis allée voir un opéra était en 1958, j'y étais allée avec mon école, voir Don Quichotte. Ce n'étais pas une oeuvre trés romantique, mais le décor de cet édifice m'avais bluffé.
    le temps a passé et cette pace de la Comédie qui se trouvait face à la Mairie centrale s'est trouvé agrandie par la démolition d'un ilot de maisons anciennes, vétustes ou pas et ceci jusqu'au quai du Rhone. ces maison ont laissé place à un espace ludique appelé maintenant la place Louis Pradel

    place-Louis-pradel.JPG

    Place Louis Pradel espace vert et blanc. en noir en centre le toit de l'Opéra, en fce la mairie centrale de Lyon, a gauche en vert clair l'annexe de la mairie de lyon en béton et en verre

    Louis Pradel, Maire de Lyon de 1957 à 1976, il succéde à Edouard Herriot. Il fut l'un des principaux bétonneur de la ville de Lyon.

    Il est à l'origine de nombreuses réalisations :

    • le quartier de la Duchère. En 1967, il participe à la négociation avec les autorités algériennes pour faire rapatrier le monument aux morts de la ville d'Oran  dans le quartier de la Duchère, peuplé de nombreux Pieds-noirs.
    • la traversée du centre de Lyon par l' autoroute Paris Marseille, grâce au tunnel de Fourvière et au centre d'échange de Perrache, surnommé le plat de nouilles, en raison des nombreux tunnels (autoroute, métro, bus) qui s'y croisent. C'est aujourd'hui sa réalisation la plus contestée, qualifiée de connerie du siècle par Michel Noir, maire de Lyon de 1989 à 1995 
    • la roseraie du Parc de la Tête d'Or 
    • une vingtaine de maisons de retraite
    • le quartier de la Part-Dieu, incluant un centre commercial et une bibliothèque 
    • le métro de Lyon, seule exception notable à sa politique très favorable à l'automobile. Après les travaux de la ligne A, la rue de la République et la rue Victor Hugo ne furent pas rendues à la circulation automobile et devinrent les premières rues piétonnes de Lyon.

    Son goût pour les grands travaux lui ont valu le surnom de Zizi béton.

    Atteint d'un cancer, il meurt quelques mois avant la mise en service du métro. Son successeur est Francisque Collomb.

     

    Je vous ai parlé de l'homme, maontenant parlons de la place qui porte son nom.

     

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    L'opéra de Lyon tel qu'il est actuellment

    Autrefois, avant l’emplacement actuel de l’opéra de Lyon se dressait l’opéra de Soufflot. Jacques-Gerlain Soufflot en est l’architecte ; l’opéra est inauguré en octobre 1756 et démoli en 1826 afin de faire place au théâtre Chenavard et Pollet. Antoine-Marie Chenavard et Jean Marie Pollet sont les deux auteurs de cet établissement. Détruit en 1756 par un incendie, il est reconstruit en 1831.

    Puis en 1986 un concours est organisé, l’heureux élu de cette compétition devait au départ le remettre aux normes. Jean Nouvel remporte le concours ; les premiers travaux débutent en 1989 et terminent en 1993 où l’opéra Nouvel (de Lyon) est inauguré. L’architecte n’a gardé de l’ancien bâtiment que les quatre façades et le foyer du public.

     

    Cette place est construite en amphithéatre, 

     

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    Autour d'une fontaine jaillissante, mais il gelait ce jour là. elle a été construite par le sculpteur Ipoustéguy.

    C'est une immense plaque ronde, qui offre une belle cible perspective en arrivant de la rue de la république et sur laquelle est inscrit le ver le plus célèbre de Louis Labbé : Permet m'amour penser quelque folie.

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    A l'est de la place, une autre oeuvre d'Ipoustéguy qui représente des allégories se rapportant à Lyon.

     

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    j'ai trouvé quelque signification mais pas toutes

     

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    celui ci fait référence à la boule lyonnaise

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    masque de comédie et boule lyonnaise  avec un cochonnet.

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    Les trois fleuves qui traversent Lyon sont la Saone, le Rhone et le Beaujolais.

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    Cette croix de Lorraine représente "l'Ordre de la Libération" Patriam servando vitoriam tullit XVII VI MCMXI. ce qui veut dire : En servant la patrie il a remporté la victoire.

    Lyon était une plaque tournante de la Résistance.

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    Cette allégorie est trés significative de la souffrance pour arriver à la liberté.

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    les marthyres avec Sainte blandine, la révolution "Lyon n'est plus" la révolte des canuts etc.....

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    Guignol et le gendarme, Hommage à Laurent Mourguet.

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    Hommage à Louise Labbé et à la poèsie romantique de la renaissance.

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    Cette femme à deux têtes est aussi d'Ipoustéguy

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    et pour finir honneur au Maire

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    Zizi béton en personne.

    Cette place regorge de curiosités, j'y retrournerais rien que pour vous
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  • Il est des sites qui, lorsque vous les cotoyez, vous remplissent de joie. Pour moi, que j'habite loin ou prés suivant les différentes périodes de ma vie ce site est le confluent entre le Rhône et la Saône à le Mulatière.
    Pour ceux ou celles qui sont passés à Lyon par l'autoroute du sud au nord, avant de prendre le fameux "Tunnel de Fourvière"
    Donc on longe le couloir de la Chimie.... à droite ce qui reste de Rhone Poulenc et Cie racheté par les chinois.... à fauche Feyzin et sa raffinerie.... on rentre la tête dans les épaules, dés fois que ca explose !!!!! on prend le pont de Pierre Bénite et là le fleuve s'élargit sur la droite et au fond Lyon se dessine.

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    Photos pas trés belle, j'ai osé prendre la photo en conduisant. je suis trés vilaine, ne le dites à personne. Sur la rive gauche le Port Edouard Herriot. a cet endroit les deux fleuves sont réunis, mais on ne voit guère la différence entre les deux.

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    Nous nous approchons, La cathédrale de Fourvière se profile a l'horizon c'est notre bonne mère à nous. au centre le Pont Pasteur sur le Rhône on voit peu sur cette photo l'endroit du confluent regarder bien à Gauche au ras de l'eau des petits poteaux rouge et blanc.

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    Pas fameuses mes photos, donc, au premier plan, c'est la Saone. voyez le changement de couleur de l'eau.

    Sur la gauche le futur Musée des Confluences qui aurait du voir la jour il y a quelques temps mais la pointe de terre entre les deux fleuves s'enfonçant au fur et a mesure de la construction........ il faut donc consolider cet endroit avant de terminer le Musée. Donc beaucoup d'euros pour colmater ..... le croyez vous à Lyon il y a un petit air de Venise et de lagune.

    confluence

    Voici donc le confluent d'aprés Google Earth, on voit bien la différence de couleur entre la Saone à gauche et le Rhone à droite

    Revenons donc à nos moutons, vous dire pourquoi je suis pleine d'allègresse lorsque je passe le long du confluent, c'est toujours un moment "M" qui me remplit de joie.
    C'est l'entrée dans ma bonne ville de Lyon que j'appelle la Florentine tant elle a des airs d'Italie.
    Mais cela est une autre histoire..... que je vous conterais bientot.
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  • Comme promis, voici des photos de ma sortie du 28 novembre.
    aprés vous avoir parler de la chapelle Saint Vincent, voici ce que l'on peut voir du belvédère.



     Nous voici donc au centre de la table d'orientation




    Nous partons du nord ouest, au fond à droite les monts d'or



    Lyon est sur la droite en contrebas, car il est dans la vallée du Rhône



    Cette photo a été trafiquée afin de la mieux voir, la colline devant les tour devrait être celle de La Mulatière et de Sainte foy les lyon. derrière au fond les monts du bugey, on est là du coté est



    Plein est nous voici avec le Mont blanc pour voisin, lorsque nopus voyopns les alpes aussi bein, c'est que la pluie va arriver.



    Cet endroit est trés reconnaisable car ce sont les montagnes derrière Grenoble
    Devant, pas encore enneigée, à droite la Chartreuse, à gauche le Vercors.
    ce sont pour nous lyonnais les stations les plus prés de nous.




    On continue avec les alpes du sud, je ne saurais vous parler des sommets



    Ici, on apperçoit le Rhone qui fait un coude pour descendre jusqu'à Vienne, ville romaine



    Nous avons fait trois 1/4 de tour du panorama. Sur la droite les coteaux du lyonnais commencent avec leur vignes et tous les bons crus que l'on connait



    on est maintenant coté ouest avec les montagnes du Pilat entre Saint Etienne (42) et Annonay (07)





    Et voila nous avons fait un tour complet sur Lyon et son panorama vu des monts du lyonnais.
    les photos ne sont pas toutes magnifiques, mais j'ai fait pour le mieux.


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  • Le village de Saint-Laurent-d'Agny trouve son origine sur la colline Saint-Vincent qui se dénommait "Dagninus". Jusqu'au 10eme siècle, cette colline était habitée par les Celtes et les Romains.
    Saint-Laurent d'Agny fut très tôt un pays de vignobles, comme le montre le vocable "Saint Vincent" donné à Voici pourquoi la chapelle romane édifiée au Xe siècle et paroisse jusqu'au 13 ème siècle est dédiée à Saint Vincent.



    Construite à 547 m d'altitude et offrant un panorama circulaire sur les alentours elle est située sur un ancien lieu de culte primitif, elle est typique d'un syle roman très primitif avec une nef unique voûtée en berceau, rythmée par des arcatures en plein cintre à claveaux bicolores et une abside semi-circulaire en  cul de four couverte de pierres plates.


    Elle date dans ses parties les plus anciennes du 11 ème siècle.




    La chapelle, assise sur d’énormes blocs de granit, est dédiée à  Saint Vincent, patron des vignerons. Elle est citée dés le 9 ème siècle.



    On remarquera sur la face Est les multiples pierres noires, peu communes dans la région, ainsi que les deux croix celtiques taillées dans la pierre. A proximité, en contrebas, on trouvera aussi la "pierre qui guérit".



    je n'ai pu visiter l'intérieur, mais l'extérieur vaut le détour.












    la prochaine fois je vous parlerais du panorama que l'on découvre la haut.
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  •  Cette place qui est située devant la gare de la Part Dieu, à Lyon, s'appelle maintenant "Place Charles Beraudier"
    Cet homme politique Lyonnais décédé à la façon de Félix Faure (*) a été député du Rhône et Premier président du Conseil régional Rhône-Alpes (1981 à 1988).

    Mais ce n'est pas là mon propos, Je voulais vous faire découvrir la fontaine installée en 1997 sur cette place.



    Fontaine d'Ipoustéguy, avec la participation des fondeurs Landowski et Guffini et du chaudronnier Rousseau.



    Curieuse  oeuvre en métal, on parle du chien d'Ipostéguy, je verrais plutot un lion couché sur un phoque.



    La, je pense que c'est un crabe ! Que fait ce crabe dans notre ville, les halles ne sont pas loin, il a du s'échapper du panier de quelques restautants de crustacés.



    Voici la tortue, le lièvre ne doit pas être loin.



    Là je cherche, des bêtes à cornes et un éléphant....



    Une tête de chat.....



    la je pense que ce pourrait être un oiseau.



    Un autre oiseau.... fait comme l'oiseau....



    C'est le grand bout de la queue du lion...... qui vous électrise...



    Un autre oiseau et bien entendu, notre coq français qui comme chacun sait est le seul oiseau à chanter les deux pattes dans la m...e.



    alors d'aprés vous, il est ou le chien ? cet animal  là n'est pas un chien  !!

    je me suis bien amusée à prendre ces photos, un matin que je devais monter sur Paris ... la suite vous là connaissez bien, voir Moune et la sncf.

    IPOUSTEGUY  1920-2006
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  • Vourles est une commune voisine de la notre ou est installé ce fameux marché du soir. Mail il n'est pas que cela.

    Tout d'abord, je vous présente le mur des Vourlois, rien à voir avec celui des lamentations.



    Réalisé par la Cité de la Création, à l'occasion de la restructuration de la place de la Résistance, cet ouvrage réunit des personnages, des coutumes et des sites remarquables du village.



    Sur la façade principale, la représentation d'une maison ancienne reprend des éléménts particuliers de quelques maisons Vourloises. Le groupe d'arboriculteurs qui s'affaire à mettre la récolte de pêches en cagettes est inspiré d'une carte postale du début du 20 ème siécle.



    Pigeons et chats se promènent sur la maison.



    Le viel homme et une fillette, devisent sur un banc de pierre caractéristique des porches des maisons locales.

    Le panneau d'affichage annonce une exposition d' Antoine DUCLAUX, peintre lyonnais qui résida à Vourles de 1830 à 1850. Il affectionnait les paysages champêtres



    Le café BATAILLARD se dressait au centre de la place. Dans la vitrine, sites, ouvrages et personnages évoquent la vie d'autrefois.



    Les vieux métiers  d'autrefois représentés à Vourles : le maréchal ferrand, le tonnelier, le charron, le pati avec ses peaux de lapins.



    Les plattes au bord du garon avec les blanchisseuses.



    L'alambic installé en 1923 et qui permet, encore de nos jours, la distillations de la grappe et des fruits.

    Pauline JARICOT, issue d'une famille de notables vourlois qui se fit remarquer par son action religieuse à l'évêché de Lyon.

    Le théorèmr de GIRARD DESARGUES, grand mathématicien du XVII ème siècle, ami de PASCAL et DECARTES, propriétaire du chateau de la Roche.



    La gare . Autrefois, Vourles était déservi par le train.

    Le centre du village au début du siècle dernier.



    Sur la façade qui fait face a l'église; on peut voir le père Louis QUERBES, fondateur de la congrégation des Clercs de Saint Viateur, au milieu du XIX ème siècle.



    A l'étage, on aperçoit un métier a tisser appelé "bistanclaque" par les canuts, souvenir du tissage du velours qui se pratiquait à Vourles et dans les campagnes environnant Lyon.

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  • Il fait chaud !! une bonne baignade ne peut que nous faire du bien.



    Tu as trouvé quoi ?

    un coquillage !




    Moi, cela me rappelle, mes vacances en Bretagne, ou il y avait des gros cailloux ronds comme ceux là........... Mais c'était où ?????


    Photo prise en mai sur les nouvelles berges du Rhône à Lyon
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