On en apprend de belles.... !   
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Petite parenthèse,

Robert doit aller faire une biopsie jeudi prochain a la clinique. néanmoins, quelque soit le résultat il ne sera pas opéré,  c'est déja un point positif car la MP n'aime pas du tout les anesthésies.

Par contre notre croisière est annulée, pour beaucoup de raisons.

Ce sera plus judicieux vu son état de fatigue lorsque l'on fait quelques sorties d'affilée.

Pas de doute, je suis un vrai bélier...

test sur Marie claire astro

Un peu tête-brûlée, vous aimez que la vie soit trépidante, excitante. Pas de temps à perdre : l’action est la réponse à bon nombre de vos questions et vous laissez à d’autres le soin de se morfondre à philosopher, tergiverser, peser le pour et le contre… Votre facette « garçon manqué » prend facilement les choses en mains (et la vie du bon côté) : minauder n’est pas votre tasse de thé. Qui vous aime vous suive et tant pis pour les autres ! Côté style, vous n’aimez pas trop les chichis : être bien dans vos baskets est la meilleure des recettes et votre tempérament ne donne pas dans la dentelle. Brushings, décolletés profonds et talons aiguilles ne sont pas vraiment adaptés à la femme active que vous êtes. La meilleure tenue est celle qui s’adapte aux circonstances. On peut être une femme sans être une poupée… et c’est un peu ce que vous pourriez revendiquer. Toujours partante (impatiente ?), souvent pressée, vous commettez quelques erreurs dans ce tourbillon d’action et de réactions mais votre franchise et votre spontanéité font que l’on vous pardonne vite. En plus, vous n’êtes pas de celles qui s’arrêtent au premier échec. La vie est trop courte pour la vivre triste : telle pourrait être votre devise et advienne que pourra !

oui, oui, c'est bien moi

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cliquer  si vous voulez en savoir plus

Me voici donc devant la porte close du musée.

Vite, vite, demi tour pour traverser la place tes terreaux en direction des pentes de la Croix Rousse

Je monte, je monte la Montée de la Grande Côte, chère aux lyonnais.

Au Moyen age, cette montée est encore un chemin de campagne, bordé de terrains agricoles et notamment de vignes. Dès le XVIe  siècle, devenant un axe majeur de liaison d'entrée et de sortie de la Presqu'ile par le Nord depuis la porte Saint-Sébastien (ou de la Croix-Rousse), elle s'urbanise progressivement. De beaux immeubles avec fenêtres à  meneaux témoignent de cette époque et de cette urbanisation précoce (le reste de la colline ne se couvrant d'immeubles majoritairement qu'à partir du XVIIIè siècle).

Alors que le reste des pentes et le plateau de la Croix Rousse étaient principalement occupées par des congrégations religieuses, la Grand'Côte accueillait déjà de nombreux Canuts. En 1788, on y dénombrait 705 métiers a tisser. Leur nombre s’accrut ensuite avec l’urbanisation des Pentes.

La Grand'Côte devint alors le point de passage des ouvriers qui descendaient à Lyon, vers les Capucins (le quartier des négociants ou de la Conditions des soies). Elle fut notamment empruntée par les manifestants lors de la Révoltes des Canus en 1831.

Actuellement, la montée de la Grande Côte, que les lyonnais surnomment communeément Grand' Côte, est une des pentes les plus raides de la Croix-Rousse. Entièrement piétonne, elle s'étend de la place des Capucins à l'esplanade de la Grande-Côte. De nombreux ateliers de créations ainsi que des échoppes et des maisons des XVI et XVIIe siècles, bordent cette grande montée. De même, un magnifique jardin paysager  mène au belvédère offrant ainsi une vue sur le Vieux Lyon et la Presqu'Ile.

Au début de la montée de la Grande-Côte, on peut lire sur une plaque : « Ici fut fondée en 1835 par Michel Derrion et Joseph Reynier la première coopérative française de consomation Le commerce véridique et social ».

Une épicerie « coopérative » a effectivement vu le jour ici, en 1835 (bien avant le mouvement de Rochdale en Angleterre).

EEn 1895, le jeune Marius Berliet met au point sa première automobile, la Pantoufle, dans la propriété familiale de la Croix-Rousse. Des essais ont lieu montée de la Grande Côte, mais la voiture fini sa course dans la vitrine d'un charcutier.

Le haut de la montée a été réhabilité a la fin du XXème siècle. ici l'esplanade et le jardin de la Grand'cote

Histoire

• Cette montée suit un chemin naturel emprunté depuis la préhistoire.
• Depuis, elle a toujours été la voie principale entre Lyon et le plateau.
• Les religieuses de la déserte ont acheté la partie ouest en 1296, ce sont elles qui ont donné le signal de la transformation de la route en rue en lotissant leur parcelle au début du 16^e siècle.
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• L’urbanisation a été rapide, de 1500 à 1550, la montée était alors fermée en bas par la porte Saint Marcel et en haut par la porte Saint Sébastien, située rue des Pierres Plantées à l’entrée de Lyon.
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• De 1628 à la révolution, une petite statue de Saint Roch avait été installée, avec une plaque en latin signalant que la peste n'avait pas réussi à monter plus haut.
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• L’historien Jules Michelet en décrit l’âpre montée lors de sa visite en 1830, ce n’est que plus tard qu’il décernera à la Croix Rousse le titre de colline du travail.
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• Les ouvriers canuts, regroupés derrière le drapeau noir et la devise vivre en travaillant ou mourir en combattant, sont descendus par la Grande Côte pour aller occuper la mairie lors des deux révoltes des canuts le 21 novembre 1831 et le 14 février 1834. Lors de la première révolte, les gardes nationaux qui les attendaient à l’angle de la rue Leynaud ont ouvert le feu, tuant quatre canuts et déclenchant l’insurrection.
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• La chaussée a été transformée en 1855 pour lui donner un égout. La montée a été en chantier durant plusieurs années à partir de 1998 pour lui donner des pavés de Montalieu et en chasser les voitures. Chantier interminable, toujours en cours fin 2005 pour faute de faillite de l’entrepreneur et pénurie de pavés.
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• La Grande Côte était connue pour avoir 99 maisons de chaque coté.
• En 1936, la ville a acheté deux maisons pour les démolir. Coût 900 F, le prix d’une radio ou de deux manteaux. Les temps ont changé, septante ans après, on laisse son manteau un peu vieilli et sa radio dont les piles sont usées devant le pas de porte de la boutique de vêtements d’occasion et on paie un tiers de son salaire pendant vingt ans pour acheter un appartement ici, avec 900F, on ne peut plus acheter que 6 centimètres carrés.
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• En 1975, toutes les maisons du haut de la rue ont été démolies, il en reste des regrets, un jardin et une photo sur une pochette de disque de Jean Marc le Bihan. Les solides pierres de leur construction ayant été qualifiées de pisé et leur antiquité vénérable de vétusté et d’insalubrité, l’obsolescence n’étant pas encore de mise en ces temps.
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• En 1988, tout le pâté de maisons entre la rue Burdeau et la rue Leynaud a été rasé au profit d’un HLM et d’un parking. dix ans après, les autres maisons entraient au patrimoine de l’humanité, avec une bonne partie de la ville, ce qui devrait leur permettre de fêter leurs 500 ans.

a suivre......

Ben oui, c'est moi, lorsque le vendredi 25 mars je me promène au musée des beaux arts.

Levée tot, car Robert partait à l'hopital de jour, j'ai profité du taxi et ai pris le bus pour me retrouver à Bellecour, devant la grande roue.

Destination la place des Terreaux. Je voulais que ce jour ou j'avais 68 au compteur soit un grand moment de plaisir.

Rue de la Ré, le matin la place est aux livraisons de toutes sortes, il est 9 h 30, les magasins pour la plupart ouvrent à 10 heures.

Mais ma journée, n'était pas destinée au shooping.

La rue de la Ré m'est trés connue, lorsque je travaillais à la banque, en 1960, je l'arpentais 4 fois par jour, de Bellecour au Terreaux. Mais elle a beaucoup changée depuis. Elle est devenue piètonne.

Mur peint à l'angle du magasin du Printemps sur la place de la République.

Le magasin du Printemps s'est octroyé une rue, il me semble vous en avoir parlé déja, je n'en reviens pas, mais ce n'est pas si laid.

Nous arrivons au Cordoliers, voici un des rares batiments a avoir été démoli et remoli sur la rue de la Ré.

Mon cher Grand bazar, qui d'aprés moi aurait du être classé momument historique est remplacé par un b atiment de verre qui abrite des enseignes connues comme Monoprix et H&M.

ce n'est pas si laid puisque les immeubles proches s'y reflètent.

Tournons place des Cordoliers sur ce même immeuble nous avons le reflet du Palais de la bourse. Finalement je le trouve trés beau.

Devant le parvis du Palais de la Bourse, une alégorie du Rhone et de la Saone  qui mèlent leurs eaux.

le croirez vous ? ces magnolias de Soulange poussent en plein centre ville, sur la place de la Bourse.

Ces magnolias stellata sont enchanteurs, les miens n'ont même pas encore de feuilles

tout cela est bien beau.

Non, ce n'est pas un pépiniériste qui s'est installé là, c'est la décoration de cette place.

je continue jusqu'au bout pour apprendre que le Musée des beaux arts, n'ouvre qu'a 10 h 30 le vendredi, flute, c'est bien ma chance.

J'ai 30 minutes a perdre..... non, non, elles ne seront pas perdue....

la suite bientot.

Ce nom pour moi représente l'histoire du grand Vizir et de son serviteur.

Au rendez-vous de Samarcande

Un jour le serviteur du Grand Vizir vint le trouver et lui dit: Maître j'étais au marché et j'y ai rencontré la Mort; elle s'est dirigée vers moi et j'ai eu si peur que je quitte cette ville et pars pour Samarcande

.
Le Grand Vizir se rendit au marché et y rencontra la Mort à laquelle il fit reproche d'avoir effrayé son serviteur, de telle sorte que ce dernier avait fui pour s'en aller ailleurs.
Et la Mort répondit au Grand Vizir: lorsque je m'approchais de ton serviteur c'était simplement pour lui dire que je pensais le retrouver, ce soir, à Samarcande.

La scène se joue si loin de nous
Qu'elle peut compter pour légende.
Fabulations, récits trop flous
Pour que l'existence en dépende.
Or tout homme au cours de sa vie
A un jour rencontré la Mort
Et sa carcasse s'est enfuie
Vers d'autres cieux, vers d'autres ports.
A quoi bon ce départ lointain
Puisqu'il faut que la Faux l'attende
Cette nuit ou alors demain
Au rendez-vous de Samarcande.

Samarcande ville de l'Oubekistan a 400 000 habitants

Son nom signifie, Lieu de rencontre

Je n'y suis jamais allée.

 .

Ue ballade ce matin pour visiter les fleurs de mes voisins. Ils sont venus la, bien avant moi et c'est un déluge de jaune de rose etc....

à tout seigneur...

Celui la fait dorer des branches avant que ses feuilles arrivent.

chez moi cela commence doucement

même les abeilles y trouvent leur compte

mes chers lupins sont au rendez vous.

un autre Bergenia plus tardif

le clou du printemps pour moi, ma clématite montana que je croyais morte a de beaux bourgeons, souvenez vous en mai 2010 j'avais du la déplacer elle était encore en fleur.

Vu au centre ville, en attandant a un feu rouge, des pots semi enterré

Dur, dur la vie de chat aus printemps

Quand le maître n'est pas là, les chats dorment.

Quand le maître fait sa sieste, le chat de prélasse à sa place.

Les cousins sont exclusivement pour Athos et Arthur.

Allia se ballade et vérifie si les bourgeons grandissent.

Coté ouest les vaches sont au pré.

Les petits veaux aussi.

Coté Ouest d'autres prés, d'autres vaches

au loin Saint Sorlin.

Mon copain "Barine" est toujours la, hiver ou printemps.

Suzette en ferme les yeux de délice.

Merci à toutes et tous pour vos gentils commentaires, ils m'ont fait chaud au coeur.

Ce matin le médecin vient de m'appeler, Robert a un taux de PSA fort élévé.

Il avait déja pris un rendez vous en urgence chez l'Urologue.

j'en ai les jambes coupées. Nous pensions faire une croisière en juin, c'est Robert qui l'avait décidé.

Je me moque de la croisière, mais Robert rame déja suffisamment avec cette MP.

Ne m'en veuillez pas si je ne commente pas vos blogs.

j'ai envie de rien.a

Robert pour ses 69 ans le 14 mars 2011 au restaurant.

C'est une fine gueule, épicurien et légaliste, son livre de chevet, le Code du travail.

A 40 ans il est retourné à la fac pour passer un certificat de droit du travail et de la sécurité sociale qu'il a réussi haut la main.

Je trouve que je ne vous ai jamais parlé de Robert vraiment, c'est un homme exceptionnel .Cela n'empêche pas qu'il a un caractère de cochon, il veut toujours commander.

En mai nous fêtons nos 20ans de vie commune et le 22 juin nos 15 ans de mariage. On va faire une fête d'enfer.

 .

Est ce Allia ? Que nenni, c'est Arthur.au milieu des cousins du salon.

Vous y avez cru , non !!!

aAprés l'église du couvent  Saint Pierre visitons le jardin.

on y trouve de magnifiques statues de Rodin et de Bourdelle

Carpeaux au travail d'Emile Antoine Bourdelle 1909.

Dans la main de Carpeaux, une figurine de femme.

Démocrite.

"Hippocrate arriva dans le temps que celui qu'on disait n'avoir raison ni sens, cherchait dans l'homme et dans la bête, quel siège a la raison, soit le coeur, soit la tête." La Fontaine.

L'ombre ou Adam, Auguste Rodin 1917.

le même, vu de dos, j'ai beaucoup aimé ce dos, charpenté.

Le joueur de flute, de Jean Delorme -1831-1905.

Quelques fleurs, je ne veux pas vous lasser avec ces sculptures. qui sont néanmoins trés belles.

la suite une autre fois

 .

Lors de ma première sortie à Fourvière, j'ai pris de nombreuses photos de Lyon vu d'en haut.

Toits de la presqu'ile du quai  le long de la saône au premier plan et quai le long du rhône en haut de la photo.

Et que vois je ? un clocher, mais de quelle église s'agit il .

je cherche grâce a google earth a quelle église peut bien  appartenir ce clocher.

Sur une autre photo, je vois que ce clocher n'est pas trop loin du musée des beaux arts, mais pas moyen de trouver l'église s'y affairant !!

Ainsi donc me voici hier  à la recherche de l'entrée de cette église  inconnue pour moi, car je peux me vanter de connaître toutes les églises de la presqu'ile.

Me voici rue du plâtre, j'ai trouvé mon clocher, mais pas de porte pour y entrer.

me voila faisant le tour du paté de maison------>

Surprise !! dans la rue Paul Chenavard (célèbre peintre) je trouve cette minuscule façade...... cuirieux, pas de nom inscrit. je reste dubitative.

plus loin, je trouve un grand porche ouvert, j'avance...

je ne peux pas aller bien loin une grille me ferme l'accés et je découvre l'arrière de cette église, clic, clic, ces voiture peuvent aller à l'église et pas nous ! fachée.

et puis ce matin grâce au web et a mes recherches approfondies j'ai trouvé que cette église fait partie de l'abbaye de Saint Pierre.

Non pas Saint Pierre au vatican, mais  l'abbaye des damesl de saisnt Pierre,  couvent des  bénédictines  construite au XVII ème siècle à Lyon.

Donc cette église est l'une des deux églises de ce couvent lL’expulsion des religieuses et la destruction de l'église Saint-Saturnin datent de la Révolution Française. L’autre église de l’abbaye, l’église Saint-Pierre,  accueille désormais les sculptures du XIX^e siècle et duXX e siècle.

J'aurais donc le privilège d'entrer dans cette église lorsque j'irais visiter le musée des beaux arts, bientôt.

Aujourd'hui, 19 mars, date qui me fait remonter 49 ans plus tôt.

je veux parler des accords d'Evian qui mettaient fin à 8 ans de guerre, mais pour beaucoup le calvaire ne faisait que commencer.

Les rapatriés qui laissaient leur vie, leurs défunts, leur maison, pour des promesses, je ne vous parlerais pas de l'accueil qui leur était fait en métropole.Quant aux harkis  s'ils venaient en France ils étaient parqués, s'ils restaient enAlgérie ils étaient tués., malgré les promesses du fln J'ai quelquefois honte de se que le gouvernement d'alors a fait !!!

Mais ce jour là je partagais mon bonheur avec mes proches, mon fiancé, l'homme qui allait devenir mon époux, allait revenir en métroplole aprés 24 mois sous les drapeaux, 24 mois de guerre par correspondance pour nous.

Robert aussi était la bas, mais je ne le connaissais pas.

Hier, j'ai fait ma seconde sortie du vendredi. le temps n'était pas trés chaud j'aurais bien du mettre un berêt et des gants.

On commence par la place Louis Pradel, je m'installe au parking souterrain et me voila partie dans la presqu'ile.

Je voulais aller visiter le palais Saint Pierre, Musée des beaux arts de Lyon, je me suis contentée déjà de la cour intérieure, car je devais retrouver Franck et Patrick, mes grands fils afin de déjeuner ensemble.

Il faut bien 2 heures 30 pour faire la visite du musée, donc aprés le cloitre je suis partie au gré des rues entre Rhône et Saône, l'APN a chauffé.

Donc plusieurs reportages pour vous prochainement.

• Le cloître et ses sculptures

• La place des terreaux et sa fontaine
• l'opéra
• les rues et ses maisons renaissance
• L'eglise sans nom
• le littérature sur le murs
• etc...

En attendant, a midi je rejoins mes garçons et Patrick, qui est scénographe, aux ateliers Frappaz à Villeurbanne, nous propose d'aller au Pole Pixel : le nouveau pôle dédié aux activités innovantes de l’image et de l’audiovisuel, à Villeurbanne.

Brasserie Moderne  "Sapristi" super ambiance, j'étais folle de joie, Patrick nous a raconté son séjour au Burkina Faso comme consultant pour un festival de théatre de rue. Franck est parti le soir même jouer avec "Zéro" son groupe à Bruxelles ce soir au "magasin 4".

Franck à gauche et Patrick  à droite, un dernier café pendant que M'man fait chauffer l'APN.

les studios Rhône Alpes, c'est ici que sont tournés les épisodes du fameux feuilleton arthuresque de Alexandre Astier "Kameloot".

Lyon n'est il pas la capitale du cinéma.

PIXEL : Développé par Icade, PIXEL signe la forte mobilisation des acteurs locaux et régionaux, publics et privés en vue d’accroître  les structures et l’attractivité du secteur en Rhône-Alpes.
PIXEL offrira dans quelques mois un potentiel d’activité et d’immobilier adapté pour tous les professionnels de l’image et de l’audiovisuel .
Le programme prévoit la construction de 2 studios de 800 m2 et de 350 m2 et des  équipements annexes, près de 10.000 m2 de bureaux et de locaux d’activités, des lieux de détente et de restauration.
La construction a démarré. Fin 2008, les premières entreprises s’installeront sur le site. Les derniers équipements seront livrés en mars 2009.

La maquette, avec le tramway qui passe a proximité

A Villeurbanne, PIXEL  prend place sur le site des Grands Moulins de Strasbourg,  sur un  terrain propriété du Grand Lyon, mitoyen du Studio 24 ; studio de tournage ouvert en 2002.  PIXEL, et ses futurs utilisateurs, bénéficieront  de cet environnement particulièrement porteur d’activité et de visibilité.
La gestion des  futurs studios de tournage de PIXEL est confiée, comme le Studio 24, à Rhône-Alpes Cinéma, structure dont la Région Rhône-Alpes est  l’actionnaire de référence.

La construction de PIXEL participe également au renouvellement urbain du quartier où le projet s’implante, par la réhabilitation voulue exemplaire de ce site industriel. Il dote ce territoire de Villeurbanne d’un caractère plus urbain, tout en redynamisant l’activité économique du secteur.

Clocher de Chaussan  - Village des monts du lyonnais.

la pluie est partie vers d'autres horizons, le soleil brille de nouveau et a l'Est je vois même le Mont Blanc.

Nous avons des nuages, qui ne m'empêche pas de jardiner ce matin. Robert est part chez le Kiné, je me mets au travail.

Plantation de mon premier carré, des fraises.

Ostara      

Cirafine remontante

Prunus Kanzan

Sambucus nigra

sureau noir

Du rose du violet, du pourpre.

Un moment dans mon jardin le matin, c'est un moment privilègié

 .....