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Oui, dans ce jardin mon fantome restera, la preuve il est déja installé, je le trouve le matin pendant mon petit déjeuner.
la preuve
il est là, on ne lui voit pas la tête car elle est encore sur mes épaules
je me lève, je reviens, il est toujours a la même place, la on devine un peu plus l'épaule.
J'ai beau essayer de le voir mieux, sa tête n'apparait toujours pas.
Sacré fantôme !!!!!
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On se fait un petit caprice !!!! de Meilland
En plus elle sent merveilleusement bon, J'en ai fait un beau bouquet pour Amandine.
Il me faudra le tailler avant de l'emmener
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c'était un samedi , j'étais montée a Yzeron assiter au venissage des peinturs de Monelle.
ce ne sont pas ses peintures , mais un murs peint prés d'un parking.
je l'ai trouvé trés bucolique, j'adore la grenouille qui discute avec l'escargot.
aujourd'hui je discute avec les déménageurs si tout va bien.
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Demain, je change de maison, et je ne sais pas qunad je vous retrouverais sur la toile.
J'ai 2 options :
1- je fais installer le téléphone par FT et en ce qui concerne Internet , je n'aurais que le bas débit.
2- j'attends , et je fais raccorder la maison au cable qui est installé dans le hameau.
je préfère attendre, et être certaine d'avoir l'adsl.
Aussi, pendant quelques temps, je vous retrouverais de temps en temps lorsque j'irais chez mon frère ou boire un café chez Mac do ou il y a le wifi.
je vous donnerais des nouvelles de temps à autre.
En attendant, venez visiter le boudoir et lire mes pérégrinations depuis 2005.
Je vous souhaite plein de bonnes choses et j'espère revenir trés vite
Moune
Non, je n'ai pas acheté de vaches, pour brouter l'herbe du pré, mais le voisin les a fait paître pour éviter de passer la tondeuse et cela a marché.
Photo prise du village avec mon zoom.
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Encore quelques jours et j'irais porter mes pénates dans un autre endroit.
en attendant voici quelques fleurs.
Voici quelques iris
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Défi de Cricket, relayé par Hélène, raconter son ou ses expérience de naissances.
Pour votre servante, la cigogne est venue 3 fois mais la première fois elle m'a fait une drôle de surprise.
Je devais accoucher autour du 15 avril et le temps passait, et rien ne venait, j'avais l'impression que je n'accoucherais jamais, c'était en 1964, on avait plus tendance a laisser venir les choses normalement.
le 27 vers 2 heures du matin je sens que la sarabande commence , mais il y avait déja eu tant de fausse alerte j'ai attendu, mon homme est donc parti au travail sans que je ne lui dise rien, on verra bien.
Mais sur le coup des 11 heures les douleurs étaient bien présentes, je faisais comme on me l'avait indiqué la respiration adéquate, et attendais que l'homme rentre du travail.
Il voulait m'emmener directement a la clinique. Calmos, j'avais le temps on dit que pour les primipares, ce peut être long....
je temps que je le fasse manger, les douleurs empiraient. Il prit le bélier par les cornes, attrapa les valises et me véhicula illico presto vers la clinique, sise Rue de la Charité à Lyon.
En ce temps là il existait des cliniques tenues exclusivement par des "Sages femmes".
Aprés visite de l'état du travail, on m'installa dans une chambre en me recommandant de bien faire ma respiration lorsque les contractions arrivaient.
l'homme fut renvoyer a ses occupations.
Ainsi passa l'aprés midi j'avais apporté un polar, j'étais déja fan depuis longtemps. je lisais entre deux contractions.
Dans la chambre d'à coté une dame hurlait sa douleur, et cela me faisait dresser les cheveux sur la tête !!!
Vers 19 h 30 on m'installait dans la salle de travail, l'homme était avec moi, il ne cessait de m'encourager à bien faire ma respiration, soufffffle, souffffle, souffffle.....
Cela finissait pas m'énerver, j'avais mal et le fait de souffler ne calmait pas mes douleurs.
Je ne voulais pas qu'il assiste, et lui n'en avait pas trés envie, donc tout était bien.
Le temps passait et je voyais les sages femmes qui écoutaient à gauche, qui écoutaient à droite..... qui se parlaient en conciliabule qui revenaient écouter mon ventre.... que disait mon ventre ? Que disait donc ce bébé qui mettait du temps à sortir ?
Poussez, poussez, madame, poussez, poussez !!!!
Finalement je sus ce que disait mon bébé.
" Ouvrez ouvrez, on est deux, on veut sortir"
A 23 h15 Franck est né, 3kg200, 60 cm la sage femme est sortie dire à l'homme, "c'est un garçon !!!! mais c'est pas fini, il y en a un autre......!!
à 23 h 30 Sophie venait au monde, 2 kg350 et 45 cm .
Mon mari m'a dit avoir l'impression que le ciel lui tombait sur la tête, nous attendions un bébé, il en arrivait 2, et le choix du roi, un garçon et une fille.
J'étais un peu dans les vaps et je n'ai pas réagit de suite.
le lendemain matin il a fallu emmener Sophie en couveuse à l'hopital des enfants à Lyon. Elle avait quelques difficultées respiratoires, elle est descendue jusqu'a 1 k 800. Je l'ai récupérée 2 semaines plus tard lorsqu'elle a suffisament grossi pour faire plus de 2 kg 500.
J'allaitais Franck et chaque jour mon époux portait 1 biberon entier de mon lait que je tirais à l'hopital pour Sophie.
J'avais beaucoup tricoté durant ma grossesse, ma layette était importante, il a fallu changer le landau que mon père nous avait offert, acheter un autre lit, des langes, des couches etc....
acheter une machine à laver le linge.
Et la corrida a commencé, j'avais juste 21 ans, maman était clouée au lit par la SEP, ma belle mère était décédée. Il a bien fallu se débrouiller.
3 ans plus tard, Patrick naissait, mais cela est une autre histoire, qu'il faudra bien que je vous raconte.
Photo prise pour mes 65 ans en avril 2008.
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Dans mon tri de cartonnage, j'ai trouvé une photo de l'une de mes ancêtres, elle devait vivre au temps de la guerre du feu ou peut être en Papouasie
vous ne trouvez pas qu'elle me ressemble un peu
en ce temps là ils avait déjà de la photo couleur, on a rien inventé !!!!
C'était mes 5 minutes de folie !!!
a vous les studios !!!
Moune
faut rigoler, faut rigoler, avant que le ciel nous tombe sur la tête,
faut rigoler, faut rigoler, pour empêcher le ciel de tomber.
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Le 29 mai à cet heure, j'espère que le camion des déménageurs sera déja bien plein. Plus que 2 semaines. il me reste une vingtaine d'arbutes et de rosiers à déterrer et une trentaine d'iris.
Pour les iris ce sera plus facile, étiquetés et mis dans des sacs plastics ils peuvent attendre sagement que je les replante
on a l'impression qu'il reste encore beaucoup de fleurs à déménager.
il me reste une vingtaine de rosiers et d'arbustes, une trentaine d'iris, et quelques vivaces.
mais j'ai 6 rosiers en boutons alors je dois attendre la floraison.
Et puis je devrais replanter tout cela en gazon, mais attendu que lorsque je sui arrivée il y avait beaucoup de trèfle (photos à l'appui) le terrain devrait être aussi beau d'en novembre 2008.
Rosier : Johann Stauss
Grimpant : rêve d'un soir.
Iris noir
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Hier, j'ai surpris Allia entrain de manger des fleurs de weigelia.
elle avait l'air de se régaler
je ne sais quel gout elle y a trouver, mais s'est goinffrer.
j'ai tout de même essayée de la dissuader .
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Il pleut, il mouille, c'est la fête à la grenouille.
Que d'eau, que d'eau
Ce matin à 10 heures
quant aux chats, il se recroqueville sous le auvent
Vite, vite, il faut mieux vite rentrer à la maison.
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Afin de remplacer le soleil qui nous fait défaut, voici un peu de jaune dans nos journées pluvieuses.
au début
ensuite..
Iris jaune doré
Iris jaune clair
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J'avais, il y a 1 an, créé une communauté "Histoires de femmes" depuis, je n'ai guère écrit d'articles en ce sens, ce n'est pas la matière qui me manque c'est le temps.
Mais je viens d'avoir une nouvelle inscription d'un blog que je veux vous présenter ici.
Pour toutes celles qui sont, comme moi, passionnées d'histoire, Pour ma Sophie, pour toutes les Sophie....
Je vous invite a visiter ce blog.
Histoire de femmes
Pour toutes les femmes qui sont emprisonnées dans un voile noir, prises entre religion, ancestralité et politique.
Lorsque je pense que dans les années 20 les femmes coupaient leur cheveux et quittaient leurs corsets, dans les années 60 on jetait nos soutiens gorges aux orties.
La France est laïque, aucune religion ne doit lui dicter sa constitution, même les nonnes catholiques ont quitté leur cornettes.
Encore une disgression dont j'ai la manie.
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