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Dans le Lyonnais on appelle cele une berte à lait, Robert qui a gardé les vaches dans sa jeunesse et dans le Pilat appelle cela une biche à lait.
Mais peu importe le nom qu'on lui donne, cet unstensile a été bien remplacée par les packs en cartons. C'est mieux pour l'hygiène. Dans ma jeunesse, le laitier faisait sa tournée avec sa cariole poussée par un tricycle et souvent aidé par un chien et il avait un sifflet pour prevenir les clientes de son arrivée.
Voici mes trois bertes. Celle de droite est trés cabossées j'ai fait peindre celle du milieu pour l'offrir à mon Homme pour nos 2000 jours. la troisième est juste du siècle dernier, elle est moderne et en plastique.
Le détail de ma berte peinte, j'aime beaucoup les roses trémières du centre.
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Je trie, je garde, je jette, j'emballe..... et je retrouve des objets dont je ne sais que faire. Ma première idée était de jeter cette inclusion venant d'une autre vie de Robert.
Finalement je l'ai gardé, je le mettrais dans sa table de nuit.
Un souvenir d'anciennes vacances.
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Maison jumelle de 100m² avec 400 m² de terrain , c'est suffisant pour mes fleurs en tout cas je devrais m'en contenter
Cours anglaise ou je vais faire un jardin de plante d'ombre
Le terrain vu depuis la maison avec le garage.
Voila vous savez tout, en ce qui concerne l'intérieur vous devrez attendre un peu.
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car je ne peux pas compter sur Athos pour m'aider !
Il teste les cartons pour savoir s'ils sont bien fermés
Bon tout va bien , celui la est conforme je vais dormir dessus.
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C'est quoi ?
Peu de temps de mettre des articles, voici dons une petite devinette.
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Le 23 septembre, mes cours de peinture ont repris à Largentière.Voici ma dernière réalisation entièrement faite au couteau.
elle s'appelle "Les coquelicots"
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On est jamais si bien servi que pas soi même, c'est pourquoi, je vous parles aujourd'hui de mon blog.
ce blog est destiné presque exclusivement à mes photos.
Quelques visites de votre part me feraient plaisir.
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Aprés s'être fait la tête quelques jours Allia et Athos dorment de nouveau cote à cote.
copain, copain sur le lit médical de Robert
Moi, je ne dors pas
Moi, on dirait que je dors, mais pas du tout, je surveille
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Avant de prendre son cours tumultueux, l'Ardéche se repose, à Labégude, puis passe sous le pont de Vals les bains et repart , un peu plus loin enne rencontre la Volane qui descend des monts d'Ardéche.
la même en sépia
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Mon amie Chantou qui a beaucoup d'humour, écrit souvent des histoires de belles mères qui m'amusent beaucoup. Je n'ai pas d'histoires drôles à vous compter à propos de ma belle mère, mais plutot une histoire douce amère.
Elle était née en Italie au début du siècle dernier, dans la province du Frioul. Elle avait fuit avec son époux le fascisme qui s'installait dans son pays. Ses deux derniers enfants René et Roger était nés en France et lorsqu'ils ont été en age de faire leur service militaire, il ont été appelé par la France pour partir l'un en Tunisie, l'autre en Algérie.
Elle s'appelait Honorine, je l'ai connu lorsque Roger mon futur mari était en Algérie. C'était une femme qui ne se plaignait jamais, elle n'avait jamais eu la vie facile, je me souviens de la voir travailler durement dans son jardin, elle s'occupait des bêtes, du jardin, des fruitiers, du maïs pour les bêtes, de la vigne, mon beau père faisait son vin. Elle était seule toute la semaine, car son époux était tailleur de pierres et travaillait "a la montagne" comme il disait.
Pas de machine à laver le linge, pas de cuisinière à gaz. La soupe cuisait sur le fourneau, mais quel délice.
Jamais je n'ai entendu son époux l'appeler par son prénom, il l'appelait "femme" et disait lorsqu'il parlait d'elle "la femme".
Cette façon de parler me glaçait au plus profond de mon être, pourtant, il n'était pas méchant, au contraire. C'était un trés brave homme, mais c'était sa façon à lui de parler. Je ne vous cache pas qu'il était effaré de ma façon d'être, j'étais à cette époque une féministe farouche qui ne rigolait pas avec l'égalité des sexes. Je me souviens de sa tête lorsqu'il m'a vu au volant de notre voiture c'était en 1963.
Ma belle mère est décédée avant que j'épouse son fils, elle était tellement inquiète de savoir son fils en Algérie, qu'elle en est morte de désespoir. Comme on dit chez moi, elle s'est fait du mauvais sang. Elle avait 57 ans et c'était en 1962. Mes enfants ne l'ont jamais connu, ils sont nés deux ans plus tard. J'avais beaucoup de tendresse pour elle.
Sa vie, 3 enfants, des soucis, la vie dure des émigrés avant, pendant et aprés la dernière guerre, aller ou il y avait du travail, les préjugés des bons français..... j'en passe et des meilleures.
Voila, je voulais la faire vivre quelques instants, pour qu'on ne l'oublie pas.
J'ai récupéré il y a plus de 10 ans dans son jardin, un rosier moussu d'un parfum incomparable, je l'ai appelé Honorine, c'est ma façon à moi de la garder pret de mon coeur.
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Voici 60 cartons a remplir !!!!!
Il faut s'y mettre dare dare, un peu de maths 1 carton qui fait 55 x 35 x 32 ca fait combien de cm3 et il me faudra combien de cartons pour faire un m3. En gros j'en compte 18.
Comme il fait plus que frais je commence par les vetements d'été.
Et les livres.... pas trop de livres par cartons car ils seront impossible à soulever.
Lorsque les 60 cartons seront pleins, je vous previendrais. donc à ce jour, plus que 53 à remplir.
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Je suis dans la Loire, entre les collines du matin et les montagnes du soir
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