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Nous sommes en 2009. Robert pouvait encore marcher, mais pas longtemps. Je nous avais prévu des vacances dans le Cantal, un chouette hôtel à Vic sur Cère. Pendant sa sieste j'en profitais pour visiter les alentours. Je me souviens d'une balade dans les gorges de la Cère.
Les gorges de la Cère sont un site naturel d’une trentaine de kilomètres situé entre les départements de la Corrèze, du Lot et du Cantal. Elles sont formées par la rivière la Cère, qui traverse les Monts du Cantal et la châtaigneraie cantalienne.
Le Pas de Cère : Cet endroit est incontournable dans le Cantal. Les deux sentiers de découverte du Pas de Cère vous amènent dans ces gorges majestueuses, classées Espace Naturel Sensible. Ensuite, le sentier escarpé descend en forêt au milieu d’une végétation luxuriante. Vous pourrez peut-être même apercevoir la loutre, qui est très difficile à observer. Le parcours dure environ 1h30 aller-retour.
Depuis l’aire du Pas de Cère sur la RN122, vous pouvez accéder en 5 minutes au belvédère qui surplombe la cascade de la Roucolle. Une plateforme sécurisée vous permettra d’admirer la hauteur des parois rocheuses qui vous entourent.
Les sentiers se rejoignent au “Pas de Cère”, une petite plage de galets où la rivière se repose au pied des falaises de 30 mètres de haut. Le Pas de Cère est un verrou glaciaire naturel, formé il y a plus de 20 000 ans, et c’est l’un des sites géologiques majeurs du Cantal.
Vous pourrez vous détendre et rêver dans ce petit coin de nature sauvage.
Ces gorges offrent un paysage pittoresque et varié, riche en histoire, en faune et en flore. Elles sont accessibles par une ligne ferroviaire étonnante et par des sentiers de randonnée.
Depuis Vic sur Cère, vous pouvez partir à pied dès l’Office de Tourisme pour rejoindre en 20 minutes le hameau de Salvanhac et l’aire d’accueil, point de départ du sentier
Les 1ers aménagements du Pas de Cère datent de la création de l’usine hydroélectrique, dont on devine les vestiges. Vous y découvrirez aujourd’hui l’histoire de Vic sur Cère au temps des curistes et de l’établissement des bains, de l’électrification, de l’arrivée de la locomotive à vapeur, et de la construction des grands hôtels.
La Cère prend sa source vers 1 370 mètres d'altitude dans le Cantal, au Lioran, dans le massif du Plomb du Cantal. Elle forme l'une des vallées principales des monts du Cantal avant de déboucher dans le petit bassin sédimentaire d'Aurillac.
Elle parcourt ensuite la Châtaigneraie cantalienne jusqu'à Laroquebrou, puis s'encaisse en gorges dans la Xaintrie.
Elle se jette enfin dans la Dordogne en rive gauche, à l'aval de Bretenoux sur la commune de Prudhomat.
J'ai juste rencontré un monsieur qui comme moi prenait plaisir à la promenade, nous étions portant au mois d'aout, l'air était doux, pas de canicule en ce temps là.
J'ai gardé un super souvenir de cette visite, malgré le fait que je l'ai faite seule. je n'ai pas pu la partager.
Je suis rentrée à l'hôtel, j'avais pris beaucoup de photos et j'ai pu en faire profiter à Robert.
le pas de la Cère vu d'en bas.
A bientot .....
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J'ai l'impression que mes vieilles pierres vous gonflent un peu,alors je change de paradigme. Mes photos dates de 2006, mais elles n'ont pas pris une ride.
Nous voici à Oullins (Rhône) dans la ville ou j'ai passé ma jeunesse. Dans le parc de mon collège, tous les deux ans il y avait une exposition d'Iris. J'y étais allée avec mon petit frère, disparu trop tôt.
J'ai toujours planté beaucoup d'iris dans mes jardins successifs... ils m'ont apporté beaucoup de bonheur.
A bientôt.
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Je vous ai souvent parlé des belles églises auvergnates, comme Saint Nectaire, Orcival, Issoire qui sont somptueuse.
Mais il existe dans en Auvergne profonde des églises qui mérite le détour. Nous voici à Saint Dier d'Auvergne situé dans le Puy de Dome. Ce bâtiment est sans doute "oublié des dieux". Madame Dati est arrivée trop tard pour la réhabilitation de ce joyau du XIe siècle.
L'église Saint Didier, remonte au XIe siècle mais l'architecture de la façade et du chevet sont clairement du XIIe siècle. L'église a été mise en état de défense en 1377.
La façade occidentale possède une polychromie très marquée due principalement à son remarquable portail surmonté d'une triple voussure à claveaux rouges et blancs.
Ce portail est encadré de deux paires de colonnes de couleur rouge ou blanche surmontées de chapiteaux blancs sculptés de motifs végétaux et anthropomorphes. La voussure externe est bordée d'une frise en pierre blanche finement ciselée.
l'ancien prieuré qui jouxte l'Eglise
La façade tripartie est segmentée par deux puissants contreforts. La partie centrale est ornée d'un triplet composé d'une baie cintrée ajourée et de deux baies cintrées aveugles dont les archivoltes se rejoignent élégamment.
Les parties latérales de la façade sont ornées de deux fenêtres à colonnettes et claveaux rouges et blanc
elle e est couverte de lauzes, est édifiée en pierre de taille assemblée en grand appareil.
En ce qui concerne la restauration ???????? surtout pour le prieuré on reste sans voix, mais nous voyons bien les cheminées du 1er étage
petite colonnette coincée ça et là.
Accés au prieuré
les fenêtres sont bouchées à la ......
Mais que fait Stéphane Berne ?
les vieilles pierres sont comme les vieilles personnes, on les oublie dans un coin.
On nous présente Saint Dier comme un village de caractère
"Saint-Dier d'Auvergne, un équilibre entre verdure et patrimoine !"
le choeur
l'entrée de l’église qui en est également la sortie.
J'ai quitté cet endroit avec tristesse.....
a bientôt
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En faisant le ménage dans mes photos, je viens de retrouver une sortie faite en 2010 dans le quartier des États Unis a Lyon. Depuis 14 ans il y a pu avoir certains changements.
Un peu d'histoire contemporaine, trés importante pour la Lyonnaise que je suis. Même si Lyon est devenue invivable, comme beaucoup de grandes villes européennes.
Le quartier des États-Unis ou cité des États-Unis est situé dans le 8e arrondissement de Lyon. Il correspond à un projet d'urbanisation construit entre 1920 et 1935, conduit sous la direction de l'architecte-urbaniste Tony Garnier. Il est aujourd'hui situé au sein d'un quartier prioritaire réunissant près de 15 000 habitants.
Quelques jours après l'entrée en guerre des États-Unis en 1917, le conseil municipal de Lyon baptise le nouveau boulevard devant relier La Guillotière à Vénissieux du nom de ce nouvel allié. Le quartier prendra naturellement le nom de son axe principal. Puis, peu de temps après la fin des hostilités, une partie de cette zone devient un bidonville.
C'est dans les années 1930 que le quartier prend en partie son aspect actuel. Au début des années 1920 le maire Édouard Herriot confie à l'architecte urbaniste Tony Garnier la mission d'ériger un quartier d'habitation bon marché. Trois maisons-types sont érigées et habitées en 1925, proposant dans le quartier nord 34 logements et 4 magasins.
Un musée au cœur du quartier "La cité idéale Egyptienne"
Mais pour respecter les impératifs budgétaires l'habitat sera rehaussé et densifié dans le projet définitif. Le 5 janvier 1931, il est arrêté avec 46 autres bâtiments, ajoutant 1586 logements et 60 magasins2. Les blocs d'habitations sont officiellement inaugurés le 25 juin 1934 (au même moment que les Gratte-ciel de Villeurbanne).
les habitants (regroupés en un comité des locataires depuis 1983) sollicitent en 1988 les artistes de la Cité de la Création afin de réaliser des fresques sur l'œuvre de Tony Garnier dans le but de revaloriser leur quartier et de mettre l'art et la culture à portée de tous.
Les murs peints
La cité idéale Indienne
Durant la réhabilitation (de 1986 à 1999, les peintures étant réalisées de 1989 à 1997), les artistes exécutent vingt-cinq peintures murales qui se découpent en 4 parties :
Les murs sont peint d'aprés, douze peintures qui reproduisent des dessins de Tony Garnier de sa « Cité industrielle » Quatre peintures représentant « les Grands Travaux de la Ville de Lyon » et six peintures donnant la vision d'artistes internationaux de la cité idéale, en tenant compte de leurs cultures respectives.la cité idéale du Mexique
L'association Perspective Tony Garnier nait en 1992 puis change de nom en 1998 pour Musée urbain Tony Garnier. Celui-ci organise des visites des murs peints et d'un appartement des années 1930, que le comité des locataires et l'OPAC du Grand Lyon ont intégré au musée.
Cet appartement expose la vie telle qu'elle était au commencement du quartier et à quel point l'architecte était, pour son temps, visionnaire et humaniste.
La cité idéale Ivoirienne
Le musée est créé en 1992 sous une forme associative avec le soutien de mécénat. Il obtient le label « Patrimoine du XXe siècle » en 2003. Le site affiche une fréquentation de 45 000 visiteurs en 2019.
Parmi les Grands Travaux de la ville de Lyon
Le stade de Gerland
pour l'équipe football et pour l'équipe de Rugby de Lyon
Les abattoirs de la Mouche
Ce bâtiment avec sa phénoménale charpente métallique est devenu une salle de spectacle
En février 2021 l'une des fresques, « Les abattoirs de la mouche », est singulièrement vandalisée : les visages de tous les personnages du premier plan étant noircis.
En mai 2022, la presse se fait l'écho d'une non reconduction de subvention de la région Auvergne-Rhône-Alpes pour l'exercice en cours, et des difficultés que cela engendre pour la Direction de l'établissement.
l'Hopital Edouard Herriot
En juillet 2022, le musée annonce sa fermeture à la fin du mois pour une durée indéterminée, à la suite du départ de l'ensemble de son personnel. Une nouvelle équipe reprend la gérance en octobre 2022.
Tous les anciens lyonnais se sont fait soigner à Édouard Herriot hôpital qui s'appelait Grange Blanche jusqu'en 1935.
Situé à Lyon, au 5 place d'Arsonval, il a été construit de 1913 à 1933, par l'architecte Tony Garnier selon une organisation d'hôpital pavillonnaire. Une grande partie de l'hôpital fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques.
La rénovation de ces fresques est lancée fin 2016, et celle anciennement nommée « Tony Garnier visionnaire » devient « Les Temps de la Cité ». Les 24 autres murs seront totalement rénovés entre 2017 et 2020, un tiers d'entre eux seront repensés à cette occasion.
A bientôt .
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En 1441, à la fin de la guerre de Cent Ans, après avoir hésité entre Autun et Beaune, Nicolas Rolin, richissime chancelier de Philippe le Bon, duc de Bourgogne, et son épouse Guigone de Salins fondent cet hôtel-Dieu richement doté, proche de la collégiale Notre-Dame de Beaune du XIIe siècle, et de l'hôtel des ducs de Bourgogne de Beaune du XIVe siècle, siège du Parlement de Bourgogne.
Les hospices de Beaune (ou hôtel-Dieu de Beaune) sont un hôtel-Dieu ou hospice de style gothique flamboyant avec toiture en tuile vernissée de Bourgogne, fondé au XVe siècle par le chancelier des ducs de Bourgogne Nicolas Rolin et son épouse Guigone de Salins, à Beaune en Bourgogne.
Il est un des plus célèbres du monde, tant par sa fastueuse et remarquable architecture traditionnelle bourguignonne que par son prestigieux domaine viticole bourguignon dont la production est historiquement vendue aux enchères pour financer son fonctionnement, sous le nom de vente des hospices de Beaune. Actif jusque dans les années 1960, classé aux monuments historiques depuis 1862, il est à ce jour un musée d'histoire de la médecine et expose entre autres le polyptyque Le Jugement dernier de Rogier van der Weyden.
Beaune est choisie pour son important taux de passage et pour son absence de grande fondation religieuse. L'influence flamande se fait sentir dans cette importante cité d'un État bourguignon qui s’étend alors jusqu'aux Pays-Bas. Les premières démarches du chancelier commencent en 1441, en sollicitant le pape et le duc de Bourgogne. Le 4 août 1443 est signé l'acte de fondation.
La façade extérieure, relativement austère, contraste avec la richesse de la décoration de la cour centrale, avec ses célèbres toits en tuile vernissée de Bourgogne, et celle de l'intérieur de l'édifice. Le choix de l'ardoise pour le grand bâtiment date de la fondation du chancelier. Ce matériau était encore peu employé dans la région, et donc plus prestigieux que les tuiles.
Il n'a pas été possible jusqu'à présent de déterminer à quelle époque des tuiles vernissées ont été employées pour la première fois sur ce bâtiment - déjà présentes sur la maquette du XVIIIe siècle. Les décors de faitage ont été largement restaurés et augmentés aux XIXe et XXe siècle, par exemple avec l'ajout de gargouilles.
En 1459, le chancelier Rolin obtient la création de l'ordre des sœurs hospitalières de Beaune, dont la règle associe vie monastique et soins aux pauvres et aux malades. Un incendie en 1500 oblige à reprendre les combles nord, reconstruits plus sobrement.
De forme rectangulaire, elle comporte un puits à eau en ferronnerie gothique. Elle donne vue sur les différents bâtiments aux toits en tuile vernissée de Bourgogne, technique probablement originaire d'Europe centrale, devenue caractéristique des monuments bourguignons (la grande salle est couverte de simples ardoises de Trélazé).
L'établissement est indépendant de tout ordre religieux. Les terrains nécessaires sont progressivement acquis, et les travaux commencent. Les bâtiments se présentent sous la forme d'un U, qui sera clos au XVe siècle d'une grange, puis du bâtiment XVIIe actuel sur son côté nord-ouest. Les travaux commencent par la grande salle sur la rue, achevée autour de 1449-50, et s'achève par le côté sud-ouest.
La grande salle des pôvres
De dimensions imposantes (près de 50 m de long, 14 m de large et 16 m de haut), elle est couverte d'une charpente monumentale apparente et peinte, en forme de toit en carène de bateau renversée, couverte d'ardoise de Trélazé. Les poutres traversières sortent d'engoulants : gueules de dragons multicolores qui évoquent les monstres de l'enfer.
La salle est occupée par deux rangées de lits à rideaux bordant les murs sud et nord, la place centrale étant réservée aux tables et aux bancs pour les repas. Le mobilier a été reconstitué en 1875 par Maurice Ouradou (le gendre de l'architecte Viollet-le-Duc).
Deux patients pouvaient se coucher sur chaque lit. Derrière chaque lit, un coffre permettait de ranger les vêtements des malades. Un couloir comportant une banquette équipée de chaises d'aisance court le long du mur derrière les rideaux.
Les poutres traversières sortent d'engoulants : gueules de dragons multicolores qui évoquent les monstres de l'enfer. De petites têtes sculptées, représentant des caricatures des bourgeois beaunois dont les visages sont accompagnés de tête d'animaux qui symbolisent leurs défauts respectifs, rythment les travées. Le carrelage comprend le monogramme de Rolin et sa devise : « Seulle * ». Ce mot accompagné de l'étoile signifie que sa femme, Guigone de Salins est la seule dame de ses pensées.
Située au nord-ouest de la cour, et dédiée à saint Nicolas, elle était destinée aux malades les plus graves, avec 12 lits. Elle sert actuellement de salle d'exposition sur l'histoire des Hospices et de son vignoble. Un pavage de verre permet de voir couler la Bouzaise qui servait à l'évacuation des eaux usées.
La salle Saint Hughes a été créée en 1645 et comprend quelques lits destinés à des malades plus aisés. Elle est remarquable par ses peintures murales d'Isaac Moillon représentant différents miracles du Christ ainsi que saint Hughes, en évêque et chartreux.
Les Hospices de Beaune abritent une œuvre remarquable, peinte au XVe siècle, le polyptyque du Jugement dernier du peintre flamand Rogier van der Weyden, polyptyque à volets mobiles rectangulaires, composé à l'origine de neuf panneaux de chêne à fil vertical peints, dont six sur les deux faces initialement exposées dans la chapelle des « pôvres » malades.
Probablement réalisé entre 1446 et 1452, ce retable a d'abord été attribué à Jan van Eyck en 1836 avant d'être attribué à Rogier van der Weyden en 1843. Scié sur toute l'épaisseur des panneaux, l'envers et l'endroit (correspondant aux positions ouverte et fermée) sont exposés conjointement dans une même salle spéciale climatisée.
Décorations des poutres traversières au dessus de la salle du Polyptyque.
Ce fut une trés belle visite, il faut entrer dans la cour intérieure pour voir les différentes constructions la grande salle des pôvres toute en simplicité et austérité et les bâtiments aux toits en tuile vernissée de Bourgogne. Ce contraste est fort intéressant.
A bientôt.
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Il a beaucoup d'avance, ce printemps 2024, dés le 29 Février, il montre le bout de son nez, pour mon plus grand plaisir.
Les primevères sont arrivées en 2019 dans un pot qui abritait les pivoines de RD et chaque année elles sont les premières a nous annoncer le printemps.
beaucoup d'avance pour ce prunus
Le coeur est jaune
et pour celui là aussi
celui là a le coeur rose
quant au troisième il fait quelques fleurs, il est plein de boutons dans quelques jours ce sera l'apothéose
Jamais les pivoines ne sont sorties aussi tôt .
et le Forsythia a peine a fleurir ........ attendons encore un peu.
a Bientôt
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Je change de genre, des pierres, toujours des pierres mais celle là sont plus naturelle.
Nous voici en Corse en 2006. 3 semaines, en chambres et tables d'Hôtes, dont la première vers Porto à l'ouest, la seconde à Lévie au sud et la dernière prés de Saint Florent au nord. Robert avait déjà quelques difficultés à marcher et je faisais des randonnées seule.
J'avais beaucoup aimé celle ci : Le Castellu di Cucuruzzu est un site préhistorique, attribué à la culture torréenne, situé à Levie, en Corse-du-Sud.
Le village de Levie
Le site a été découvert en 1959. Il a été fouillé par Roger Grosjean en 1963, et par François de Lanfranchi jusque dans les années 1990. Le site est acquis en 1975 par l'État qui le classe monument historique par arrêté du 9 novembre 1982.
Il appartient désormais à la collectivité de Corse et a été restauré en 1991 et en 2016-2017 pour le mettre en valeur et permettre au public de le visiter tout en assurant sa protection. Ces photos sont prises avant la restauration de 2016.
Le site est un complexe torréen classique du type « castellu a torra ». Le caractère isolé du site a contribué à sa bonne préservation. Le castellu a été édifié sur un chaos granitique dominant à 700 m d'altitude la partie nord du plateau de Levie. Il comporte une large enceinte de 40 m de long sur 20 m de large construite en gros blocs dont le poids atteint parfois 1 tonne.
Elle est conservée sur une hauteur moyenne de 5 m. L'accès à l'intérieur de l'enceinte se fait par une unique entrée, dont l'escalier a été taillé dans une boule de granite du chaos naturel, prolongée par une une chicane.
Au nord-ouest, le castellu comporte une terrasse semi-circulaire surélevée où Grosjean a identifié des traces de foyers sur un dallage. Elle se poursuit par une coursive longeant l'enceinte qui selon Grosjean devait être recouverte à 2 m de hauteur par un plancher
Suivons le sentier
Cette coursive débouche sur un secteur comprenant trois petits diverticules (baptisés C1 à C3) construits dans la masse du mur d'enceinte avec des parements particulièrement soignés. Ces diverticules sont recouverts de dalles.
Selon Grosjean, leur exiguïté exclut une fonction d'habitation et devait plutôt les destiner à l'entrepôt des vivres et des réserves d'eau.
Un rocher visible devant le diverticule C2 comporte une cupule au centre.
L'ensemble est séparé de la « torra », qui domine le castellu de 10 m de hauteur, par les gros blocs du chaos rocheux sur lequel elle s’appuie. On accède à la torra par une entrée à l'est prolongée d'un couloir comportant des niches latérales. La salle intérieure, de forme semi-circulaire, mesure entre 3 m et 4 m de diamètre. Elle a conservé sa voûte d'origine en encorbellement, ce qui en fait un cas unique en Corse.
Le site fut fréquenté dès le Néolithique mais le castellu fut édifié à l’âge du bronze et occupé de manière continue entre le Bronze moyen et le second âge du fer (fin du IIIe siècle av. J.-C.).
Une statue-menhir découverte sous la forme de deux fragments en remploi dans le renfort de l'escalier médiéval a été restaurée et redressée sur place. Elle est composée d'un fût quasi-rectangulaire avec un léger rétrécissement au niveau de la partie inférieure
Le castellu di Capula, visible à proximité, un peu plus haut à 759 m d'altitude, a été construit au IXe siècle, par un dénommé Bianco comte de Corse, sur les fondations d'une structure plus ancienne datée de l’âge du bronze/âge du fer dont il ne demeure qu'un mur d'enceinte partiellement recouvert par la construction médiévale.
Aprés la Renaissance, on s'enfonce dans les méandres de l'age de bronze. Et en traversant une forêt méditerranéenne au coeur d’un environnement préservé, vous découvrirez le Casteddu de Cucuruzzu, qui fait partie de la vingtaine de casteddi connus de l’île, situés essentiellement en Corse méridionale. Les hommes de ce temps là n'avaient ils pas autant de mérite.
A Bientôt.
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Entre 1988 et 2013, une seule chose m'importait, mes jardins. J'ai bien eu raison d'en profiter, car entre le réchauffement climatique qui nous fait vraiment prendre conscience que l'eau va nous manquer, et le vieillissement de ma carcasse, mon jardin n'est plus une priorité. En ce temps là, j'aurai bien voulu aller visiter le "Festival des jardins de Chaumont", j'en rêvais !!!!
Le temps passant, mes envies et mes plaisirs ont beaucoup évolués. Donc j'étais à Chaumont sur Loire et c'est le château que je désirais voir. J'avais complètement occulté mes désirs de Festival.
Mon rosier favori : Pierre de Ronsard. Il a été dans tous mes jardins
De part et d'autres de l'avenue des plantations et des Écuries de grande envergure ou il était question d'expositions en 2023 : Le Jardin Résilient
Dérèglement climatique, dégradation du monde vivant, telles sont les nouvelles données auxquelles les zones naguère tempérées du globe sont désormais confrontées. Fragilité, déséquilibre, incertitude sont aujourd’hui au cœur des préoccupations et impliquent pour chacun d’entre nous la nécessité de s’adapter à un climat qui change, en minimisant les effets délétères de températures élevées, en repensant nos comportements, en luttant contre les îlots de chaleur, en utilisant des solutions nouvelles ou traditionnelles, face à la raréfaction de l’ombre et de l’eau.
Sobriété, autosuffisance grâce à la permaculture, aux forêts comestibles, aux corridors verts… tout est à mettre en œuvre pour renforcer la résilience de nos jardins, pour anticiper, agir, rebondir, réduire les vulnérabilités.
Dans ce jardin résilient à inventer, à cultiver, toutes les contraintes de notre temps ont été envisagées et de belles solutions proposées par les concepteurs, qui ont su faire de leur parcelle un concentré d’imagination, de savoirs et de savoir-faire, pour y renforcer la présence des végétaux.…
Tel est le défi proposé aux concepteurs des jardins de l’édition 2023 qui ont su proposer des projets tentant d’ouvrir des pistes permettant au jardin, condensé de vie et de biodiversité, de résister aux outrances de l’Anthropocène.
j'ai été séduite par ce mélange de couleurs
Nous avons visité quelques bâtiments qui abritait d'étranges machines
et dans l'un d'eux un énorme mobile qui ne m'a pas inspirer car je ne l'ai même pas photographié
Le château était là, tout prés il nous attendait
Dans mon article précédent, je ne vous ai pas parlé de la chapelle, elle aussi est en résilience
Le chœur de la chapelle vu du balcon. Je me suis beaucoup étonnée de ce foisonnement de branchage
le plafond et les vitraux, je n'ai rien trouvé d'écrit sue cette chapelle
Vue du rez de chaussée. J'ignore pourquoi l'on ne peut pas y entrer. Une barrière de branchage nous en empêche, les feuilles ont séché et mis a part les vitraux on ne peut rien admirer. J'ai trouvé cela assez grotesque
La Loire à Chaumont
elle est pareille a elle même, comme celle que je vois couler prés de ma maison avec ses bancs de sable
J'aime beaucoup ces bateaux a fond plat.
Voila pour ces magnifiques châteaux, il y en a d'autres plus petits, moins connus dont je vous parlerai a l'occasion. C'est à Lôches que nous avons pris la décision de rentrer. J'aurai bien voulu aller visiter le gisant d'Agnés Sorel. Mais mon état ne le permettait pas. Un jour peut être.... dans une autre vie.
Amboise et Chenonceaux ne sont pas dans cette série, je les avais visiter a plusieurs reprises quelques années plus tôt.
A bientôt...
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Le château de Chaumont-sur-Loire se trouve en Loir-et-Cher, sur les bords de la Loire, entre Amboise et Blois, en France. Il fait l’objet de classements au titre des monuments historiques par la liste de 1840, ainsi qu'en 1937 et 1955. Il a été construit dans plusieurs styles suivant les années, de Féodal il devient Renaissance.
Au Xe siècle, Eudes Ier, comte de Blois, fait construire une forteresse pour protéger la ville de Blois contre les attaques des comtes d'Anjou. Un batailleur du comte Eudes II, Gilduin de Saumur, surnommé le Diable de Saumur, combattit le comte d'Anjou Foulques Nerra et reçut en récompense le château de Chaumont. Sa petite-nièce, Denise de Fougères (fille de Frangalo de Fougères selon des généalogies, ayant épousé en 1039 Sulpice Ier d'Amboise, le château passe dans la famille d'Amboise pour cinq siècles.
Louis XI ordonne en 1465 de brûler et de raser Chaumont pour punir Pierre d'Amboise de s'être révolté contre le pouvoir royal lors de la « Ligue du Bien public ». Rentrée en grâce, la famille d'Amboise est autorisée à reconstruire le château. C'est son fils Charles Ier d'Amboise qui l'entreprend de 1469 à 1481 en édifiant notamment l'aile nord, faisant face à la Loire, aujourd'hui disparue, et l'aile ouest, encore existante.
La porte d'entrée précédée d'un double pont-levis est enserrée par deux grosses tours rondes, massives, dotées de mâchicoulis et de chemins de ronde. Contrairement à l'usage, le donjon central est abandonné au profit de la tour ouest, dite tour d'Amboise, destinée à planter l'étendard du seigneur des lieux.
Louis XII et Anne de Bretagne
l'emblème de Charles de Chaumont d'Amboise
Le porc épic, emblème de Louis XII
De 1498 à 1510, Charles II de Chaumont d'Amboise, assisté par son oncle, le cardinal Georges d'Amboise, ministre de Louis XII, poursuit la reconstruction dans le style Louis XII déjà marqué par la Renaissance tout en conservant la même allure générale fortifiée. C'est alors que sont élevées les ailes est et nord, qui viennent fermer le quadrilatère.
Le 31 mars 1550, la reine Catherine de Médicis achète à la famille d'Amboise le château pour la somme de cent vingt mille livres. À la fin de 1559, peu après le décès accidentel d'Henri II, Catherine de Médicis, l'échange à sa rivale Diane de Poitiers, maîtresse du défunt roi, contre celui de Chenonceau.
À la mort de Charlotte de La Marck, petite-fille de Diane (1594), le château est hérité par son époux, Henri de La Tour d'Auvergne, duc de Bouillon, qui le revend à un fermier général des gabelles nommé Jean Largentier.
La Chapelle
Le duc de Beauvilliers (devenu duc de Saint-Aignan à la mort de son père) l'achète à cette famille en 1699. Le château retrouve son faste passé et accueille même en 1700 le duc d'Anjou qui cheminait vers l'Espagne pour s'y asseoir sur le trône.
À la mort du duc, une de ses filles en hérite et l'apporte à Louis de Rochechouart, duc de Mortemart, prince de Tonnay-Charente, son époux. Ce dernier, grand joueur, contracte des dettes et doit s'en séparer
Il est vendu en 1740 à un maître des requêtes ordinaires de Louis XV, Nicolas Bertin de Vaugyen, qui fait certaines modifications, dont l'ouverture sur la Loire, en abattant le corps de logis qui fermait la cour.
Les écuries de Chaumont (*) sont représentatives de ce que la noblesse fortunée fait construire à la fin du XIXe siècle pour abriter ses chevaux. Elles sont considérées à l'époque comme les plus luxueuses d'Europe, bénéficiant alors d'un éclairage électrique à arc, en même temps que l'Opéra Garnier et l'hôtel de ville de Paris.
Décoration de la partie Renaissance
Pendant quarante ans, le château connaît une époque fastueuse durant laquelle les Broglie donnent fêtes et réceptions, en menant une vie luxueuse. Le « krach Crosnier » de 1905 amoindrit les revenus du patrimoine de la princesse, puis veuve en 1917 d'Henri Amédée de Broglie, elle se remarie avec le prince Louis-Ferdinand d'Orléans, infant d'Espagne.
Cet époux volage et peu scrupuleux achève de dilapider la fortune de la princesse. En 1938, le château de Chaumont est cédé à l'État pour 1 800 000 francs, qui l'affecte au service des Monuments historiques.
(*) Dans l'espace des écuries de Chaumont, le Festival International des Jardins de Chaumont-sur-Loire réunit chaque année depuis 1992, dans une partie du Domaine de Chaumont-sur-Loire, en Loir-et-Cher, une sélection de créations paysagères en lien avec un thème particulier. Devenu aujourd'hui un rendez-vous incontournable de l'art des jardins, le Festival s'adresse aussi bien aux spécialistes qu'à un large public.
Avant d'arriver au château on traverse le domaine qui comporte de trés beaux arbres, des massifs et des prairies fleuries.
A bientôt.....
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Quelques détails fort intéressants qui font de ce château, l'un des plus visité.
L'escalier a double révolution est un modelè du genre, en voici quelques explications.
Il est probable que l’escalier à double révolution [ou double vis] placé au centre de l’édifice, soit de Léonard de Vinci ou en tout cas inspiré de ses croquis.
Noyau central vu par le bas
Comme son nom l’indique, il comporte deux volées d’escaliers suivant un schéma de double hélice à la manière des deux troncs enlacés qui représentent l’arbre de vie au Moyen Âge. Deux personnes qui empruntent chacun une volée de marches peuvent s’apercevoir par les ouvertures, mais ne peuvent se rencontrer.
le F et la salamandre sont partout
Noyau central vu par le haut
Tour de l'escalier a double révolution
Arrivé sur la terrasse, le visiteur peut remarquer que l’escalier est surmonté d’une tour-lanterne, elle s’élève à 32 mètres et surmonte toutes les cheminées de Chambord.
Son sommet est coiffé d’une fleur de lys (symbole de la monarchie française).
Les terrasses sont encadrées de tourelles et de lucarnes parées de marqueterie de tuffeau et d’ardoise.
Les tours, tourelles, clochetons, cheminées et lucarnes sont ornées de médaillons, losanges, carrés, demi-cercles et triangles en ardoise qui évoquent les incrustations de marbre noir de la Chartreuse de Pavie où François Ier fut prisonnier.
La création de cette terrasse a mis en œuvre un dispositif de construction original. Les dalles ne sont pas jointoyées, laissant passer les eaux pluviales, qui tombent sur un toit de tuiles plates reposant sur un maillage de murets de pierre appuyés sur les voûtes des pièces du dernier étage.
Ainsi, l’usage de support des dalles est très clairement distinct de l’usage d’étanchéité, assuré par le toit caché dans les maçonneries. De là, l’eau s’écoule vers un chéneau aménagé tout autour sur la corniche. Cette solution inédite en France pourrait dater des années 1537-38. Elle fut reproduite quelques années plus tard aux terrasses du château de Grignan.
Le deuxième étage est également remarquable par ses quatre salles qui gardent encore quelque trace de l’or et de la peinture dont elles étaient revêtues. Ces salles comportent chacune 80 caissons sculptés qui alternent les symboles royaux
La salamandre parfois entourées de semis de flammes en forme de lys, et monogramme « F » couronné, accompagné d’une cordelette nouée représentant des 8 formés par le nœud en « lacs d’amour », emblème de sa mère, Louise de Savoie
Certains monogrammes de l’escalier à hauteur des terrasses sont tracés à l’envers de manière que Dieu du haut du ciel voie la puissance du Roi. Les salamandres de Chambord illustrent la devise de François Ier, nutrisco et extinguo (Je me nourris du bon feu et j’éteins le mauvais feu).
Lanterne d'un des deux tours d'angle.
Le chantier de Chambord fut l’un des plus importants de la Renaissance. Environ 220 000 tonnes de pierres sont nécessaires. À défaut de pouvoir dévier le cours de la Loire, selon le vœu de François Ier, le Cosson a finalement été détourné par un canal qui alimente les douves.
Notre voyage caniculaire de septembre 2023 est bientôt terminé. Il me reste le Château de Chaumont que nous visiterons prochainement.
a bientôt !
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Nous quittons l'Allemagne et ses magnifiques villes afin de retourner dans les châteaux de la Loire, je vous avais un peu parlé de Chambord, mais voici quelques détails de ce grand et beau château, qui n'a pas grand chose a nous compter du point de vue historique. C'est surtout un faire valoir pour le roi François 1er. Par contre coté architecture c'est une merveille.
Construit au cœur du plus grand parc forestier clos d’Europe (environ 50 km2 ceint par un mur de 32 km de long), il s’agit du plus vaste des châteaux de la Loire. Il bénéficie d’un jardin d’agrément et d’un parc de chasse classés monuments historiques.
Nous devons en faire le tour pour y entrer.
e nom Chambord – du gaulois cambo-rito – signifie « passage sur la courbe » ; c’est un gué dans la courbe d’une rivière9. Ce gué crée un marécage sur lequel est construit un pont mentionné dès 1307 dans le testament du comte de Blois, Hugues II de Blois-Châtillon, alors propriétaire du terrain
Chambord a été considérablement modifié au cours des 28 années de sa construction (1519-1547), pendant lesquelles le chantier a été supervisé par Pierre Nepveu. Le château étant en voie d'achèvement, François Ier exhibe son énorme symbole de richesse et de puissance en accueillant à Chambord son ancien rival, l'empereur Charles Quint.
Dès la fin du Haut Moyen Âge, Chambord accueille un château fort, au Xe siècle, destiné aux comtes de Blois. Thibault VI et sa veuve y signent notamment des chartes à la fin du XIIe et au début du XIIIe siècle. Le château, situé à une lieue au nord de celui de Montfrault, bénéficie d'une localisation préférentielle par les comtes.
Comme l’ensemble des possessions des comtes de Blois, le château de Chambord passe de la maison de Châtillon, à celle des ducs d’Orléans en 1397, avant d’être rattaché à la couronne de France lorsque Louis d’Orléans devint Louis XII de France en 1498, le petit château fort étant déjà à cette époque une maison de plaisance et de chasse.
En 1516, François Ier, roi de France depuis 1515, auréolé de sa victoire à Marignan, décide la construction d’un palais à sa gloire, à l’orée de la forêt giboyeuse de Chambord. Le désir du roi est de réaliser une ville nouvelle à Romorantin, et à Chambord un grand édifice dans le style néoplatonicien. Le projet se nourrit de l’humanisme d’Alberti, qui a défini les principes de l’architecture Renaissance, dans son traité De re aedificatoria, inspiré de l’architecte romain Vitruve. Il repose sur la géométrie, les rapports mathématiques et la régularité.
Le donjon est achevé lorsque l’empereur du Saint-Empire romain germanique, Charles Quint, grand rival du roi de France, est accueilli à Chambord par François Ier, dans la nuit du 18 au 19 décembre 1539, alors qu’il quitte l’Espagne pour Gand, sa ville natale, qu’il veut châtier d’avoir refusé sa contribution aux frais de guerre. Le cortège est reçu par des ballets et des jonchées de fleurs dans un somptueux décor de tapisseries.
L’aile royale à la pointe Nord de l’enceinte du château est achevée en 1544. Une galerie extérieure portée sur des arcades et un escalier à vis sont ajoutés vers 1545, alors que se poursuivent les travaux de l’aile symétrique (aile de la chapelle), et d’une enceinte basse fermant au sud la cour, à la manière d’une forteresse médiévale, comme au château de Vincennes.
François Ier meurt en 1547. Le roi a finalement passé très peu de temps à Chambord (42 jours au total en 32 ans de règne). Il a pris l’habitude de disparaître en forêt pour y chasser en compagnie d’un petit groupe d’intimes - composé de beaucoup de dames - que les contemporains appellent la « petite bande » du roi.
depuis le coté sud les jardins
Les travaux de l’aile de la chapelle se poursuivent sous le règne de Henri II, mais ils sont interrompus par sa mort en 1559. Le traité de Chambord est signé en 1552 au château entre le roi et des princes allemands s’opposant à Charles Quint.
coté sud vu depuis la terrasse on voit l'enceinte basse qui entoure le château fermant au sud la cour, à la manière d’une forteresse médiévale, comme au château de Vincennes.
en voici le plan ! on comprend mieux
Photo de la face Nord, c'est la plus belle bien entendu.
Lors de notre visite nous avons regardé des projections de films qui nous renseignaient sur les diverses phases de la construction du château. On comprend mieux comment se sont articulées les différentes tours.
prés du château coté Est se trouve la chapelle
Il faut attendre l’avènement de Louis XIV pour que soit achevé le projet de François Ier. Le Roi-Soleil comprend le symbole que représente Chambord, manifestation du pouvoir royal, dans la pierre et dans le temps. Il confie les travaux à l’architecte Jules Hardouin-Mansart, qui, entre 1680 et 1686 achève l’aile ouest, la toiture de la chapelle (la plus grande pièce du château), ainsi que l’enceinte basse, qui est couverte d’un comble brisé destiné aux logements du personnel.
Bientôt, je vous parlerai de la terrasse et ses cheminées et du fameux escalier a double révolution.
Je vous ai trouvé un site qui explique la construction du château.
https://www.chambord.org/fr/histoire/le-chateau/architecture/
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Le Zwinger est un ancien lieu de détente et de festivités des rois de Saxe, aujourd'hui transformé en musée.
Il a été construit sur l'emplacement de l'ancienne forteresse de Dresde dont le mur extérieur a été conservé. Le mot « Zwinger » (fausse braie) désigne la partie située entre les remparts extérieur et intérieur d'une forteresse.
Vous retrouverez ce bâtiment vu depuis la place du théâtre à la fin de mon article.
Une partie est en travaux
A l'époque d'Auguste le Fort, il se trouvait à l'extérieur de la ville.et le Glockenspiel. Le Wallpavillon qui contient un carillon en porcelaine de Meissen installé entre 1924 et 1936.
Il est une des attractions majeures de la ville de Dresde, notamment parce qu'il abrite des musées des Collections nationales de Dresde comme la Gemäldegalerie Alte Meister, la Rüstkammer (La Salle d'armes ) ou encore la Porzellansammlung. (Musée de la porcelaine)
Le Zwinger fut commandé en 1709 par Auguste II dit « le Fort » et réalisé par Matthäus Daniel Pöppelmann entre 1711 et 1722. L'enceinte a été fermée par la construction, entre 1847 et 1854, du bâtiment qui abrite la galerie de Peintures, réalisé par Gottfried Semper.
De style baroque, il fut gravement endommagé durant la Seconde Guerre mondiale, le 13 février 1945. Le Zwinger fut l'un des premiers édifices de Dresde à être reconstruits après la guerre. La restauration s'acheva durant les années 1960.
Avec la cathédrale au nord-est et le Semperoper opéra de l'architecte Gottfried Semper à l'ouest, le Zwinger fait partie de place du Théâtre.
Le Zwinger est constitué de six pavillons reliés par des galeries. Les deux principaux sont le Wallpavillon, orné de sculptures baroques et surmonté d'une statue d'Hercule,
Le site est fermé au nord, le long de l'Elbe, par la Semper galerie, de style Renaissance, qui abrite la galerie de Peinture des Maîtres Anciens. Celle-ci fut construite au XIXe siècle par l'architecte Gottfried Semper. À l'époque d'Auguste le Fort il n'existait rien à cet emplacement.
Au nord du Zwinger se trouve un petit édifice nommé Le petit village italien, avec des restaurants et des cafés. Le nom vient d'une ancienne auberge avec des logements d'ouvriers italiens œuvrant sur l'opéra de Gottfried Semper.
L'entrée s'effectue par la Kronentor (porte de la Couronne), à l'ouest, surmontée d'un dôme en bulbe orné de dorures.
La galerie de Peinture des Maîtres Anciens du Zwinger est une des attractions culturelles majeures de Dresde. Elle présente une collection de peintures de maîtres, parmi lesquelles des œuvres de Rubens, Sandro Botticelli, Albrecht Dürer, Paolo Veronese et bien sûr la fameuse Sixtine Madonna de Raphaël.
Le Zwinger vu depuis la place du théâtre, dans ce bâtiment se trouvent les plus belles collections de peinture des Maitres Anciens.
La vieille ville de Dresde est vraiment a découvrir, et le fait qu'elle soit reconstruite après la guerre apporte un regain d’intérêt. Je ne voulais pas aller en Allemagne et j'avais bien tort. Merci à RD de m'avoir fait découvrir ces magnifiques endroits.
Notre voyage est presque terminé, nous sommes passés à Meissen voir la fabrique de porcelaine.
c'était fort intéressant, mais fort cher.
J'adore les coquelicots....... mais pas leur prix.
A bientôt !!!!
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Nous continuons a visiter le centre ancien de Dresde
Je mets cette photo afin que vous identifiez l'endroit d’où part cette fresque monumentale, sur la gauche
Cette peinture monumentale représentant les Ducs de la Maison de Saxe( 35 margraves, princes-électeurs et rois sur une période d'environ 1 000 ans ) fut transférée en 1906 sur 25 000 carreaux de porcelaine de Saxe et se situe sur la façade extérieure du château
Il a été peint à l'origine entre 1871 et 1876 pour célébrer le 800e anniversaire de la dynastie Wettin, la famille dirigeante de Saxe. D'une longueur de 102 m, elle est connue comme la plus grande œuvre d'art en porcelaine au monde. La peinture murale présente les portraits ancestraux des 35 margraves, électeurs, ducs et rois de la maison de Wettin entre 1127 et 1904.
Pour le 800e anniversaire de la maison de Wettin en 1889, une autre version en stuc d'une peinture murale à grande échelle a été commandée. Elle a été réalisée par l'artiste Wilhelm Walther entre 1871 et 1876. Comme l'œuvre s'est rapidement détériorée, elle a été remplacée par environ 23 000 carreaux de porcelaine de Meissen entre 1904 et 1907.
Seuls des dommages minimes aux carreaux de porcelaine résultent du bombardement du 13 février 1945. En clair les carreaux remplacés
Le presse citron
Dôme en verre de l'Académie des beaux-arts de Dresde appelé le "Presse-citron" est surmontée d'une statue de l'ange d'or.
Le 6 février 1764, le prince Xavier de Saxe devient l'administrateur-fondateur d'une nouvelle académie de peinture, au nom de son neveu encore dans sa minorité, le prince-électeur Frédéric-Auguste Ier de Saxe. L'institution comprend dans un premier temps un second établissement, plus petit, situé à Leipzig, subordonné à celui de Dresde
Le "langer Gang", une longue galerie formée par des arcades toscanes. Cette galerie ferme la cour des écuries.
Je reviens dans la grande cour intérieur du château, j'avais oublié quelques photos
toujours en travaux
Le Johanneum de Dresde est un bâtiment Renaissance de 1586 nommé d'après le roi Johann Ier de Saxe. Il servait à l'origine d'écuries pour accueillir les chevaux des Electeurs et les voitures. Aujourd'hui, il abrite le musée des transports de Dresde.
Ce lundi 26 août 2013, Dresde, capitale de la Saxe, à l’est de l’Allemagne, inaugure un nouveau pont à quatre voies surplombant l’Elbe. La construction suscite la polémique depuis plusieurs années. L’Unesco, qui estime qu’elle altère la vue sur la vieille ville – largement détruite pendant la seconde guerre mondiale, puis restaurée – a ainsi pris la décision de retirer Dresde de la liste de patrimoine mondial de l’humanité sur laquelle elle figurait depuis seulement 2004.
le pont Auguste sur l'Elbe
l y a eu un pont au même endroit, au moins depuis le XIIe siècle ; on y aboutissait par une porte de la ville, devenue la Georgentor au XVIe siècle. Sous le roi Auguste II le Fort de Pologne et de Saxe, un nouveau pont en grès a été construit entre 1727 et 1731, qui était l’œuvre d'un architecte de Dresde, Daniel Pöppelmann (1728–1730) ; malgré les protestations contre la reconstruction de cet ouvrage d'art, l’accroissement du trafic imposait sa démolition : il a donc été remplacé par l'ouvrage actuel, conçu par Wilhelm Kreis et Theodor Klette. Kreis imagina un pont utilisant des matériaux modernes, mais respectant au plus près l'architecture historique de l'ancien pont, et ce compromis trouva la faveur du public
Il me reste a vous montrer le Zwinger......a bientôt !
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C'est un très grand château, il est chargé d'histoire, puisqu'il est un des plus vieux bâtiments de la ville (bien qu'il ait été reconstruit) et qu'il était la résidence des princes-électeurs saxons (1547–1806) puis des rois de Saxe (1806–1918). En tant que résidence de la branche albertine de la Maison de Wettin, il fut dès le XVIe siècle d'une importance capitale pour le développement culturel de la ville. Ensuite, de nombreux styles architecturaux vinrent se greffer pour en faire un complexe unique en son genre.
Voici une photo prise depuis Google Earth, qui vous montre l'étendue du chateau
Le château d'origine fut bâti au début du XIIIe siècle (les textes recensant son existence remontent à 1289), puis agrandi entre 1471 et 1474 par l'architecte Arnold von Westfalen. Cependant, à la suite d'un feu survenu en 1701, Auguste le Fort le reconstruit dans un style baroque typique de l'époque. Au XXe siècle, le château est à nouveau transformé avec des apports néo-Renaissance. Cependant dans la nuit du 13 au 14 février 1945, le bâtiment est entièrement détruit. Ce n'est qu'à partir des années 1960 que la reconstruction de l’ensemble débute.
L'une des facades gothiques, on entre dans la cour du château par plusieurs passages votés
e Georgenbau (aile Georg) et la Georgentor (porte Georg) de Dresde furent construits entre 1533 et 1535, sous le règne du duc Georg. Cette aile relie la partie Nord du château à la partie opposée, la chancellerie, érigée entre 1565 et 1567. Dans cet ensemble furent intégrées des parties de l’Elbtor (porte de l’Elbe), datant du Moyen Âge. Sous la porte Georg se trouve un passage voûté qui n’est autre qu’une arche de l’ancien Elbbrücke (pont de l’Elbe). La partie située aujourd’hui à l’extrémité de l’aile Georg est accolée à un bâtiment de 1899.
les abords du château sont en travaux, on y trouve des barrières avec des photos Avant/Aprés
Un pont entre la résidence et l'un des bâtiments adjacents
Autrefois, les visiteurs avaient la possibilité d’aller de l’aile Georg à l’Hausmannturm (tour Hausmann), dont l’accès aujourd’hui n’est possible que par l’entrée principale pour visiteurs de l’aile Ouest. Cette haute tour culmine à 100,27 mètres depuis qu’elle a retrouvé en 1991 la flèche qui la surmonte, ce qui en fait un des bâtiments les plus remarquables de Dresde. On peut accéder, après avoir grimpé les 222 marches qui y amènent, à la balustrade de la tour, située à 38,5 mètres de hauteur, et d’où l’on peut jouir d’un magnifique panorama de la ville.
Nous entrons dans une cour en travaux a ciel ouvert qui est décorée d'une façon remarquable
en passant cette porte, nous entrons dans la petite cour dont je vous montre des photos ensuite
par contre je ne trouve aucune explication sur cette décoration romaine impériale
que nous avons trouvé particulièrement belle
Si l'un ou l'une d'entre vous a des détails, je suis preneuse. Ensuite nous allons visiter la Voute Verte fabuleux musée de Dresde en passant par la petite cour
À la fin de la rénovation de la plus grande partie du château, on eut l'idée de recouvrir la petite cour intérieure de la Résidence d'un toit permettant d'accueillir les nombreux visiteurs. À la suite de longues discussions, les autorités de l'État libre de Saxe se décidèrent pour la solution des architectes Peter Kulka et Philipp Stamborski.
La coupole recouvrant la cour pèse 84 tonnes et est composée de 265 coussins en feuilles d'ETFE, remplis d'air comprimé. L'ETFE, une matière transparente et très solide, a été testée dans des conditions extrêmes en Arizona.
La Voute Verte divisée en deux parties
Le Kupferstich-Kabinett (collection d’estampes, de dessins et de photographies)
Le Münzkabinett (Cabinet des Monnaies et Médailles)
La Türkische Cammer (Cabinet Turc) ainsi qu'une Kunstbibliothek (bibliothèque d'art).Nous avons commencé la visite qui montrait des bijoux d'une riche beauté. je ne vous cache pas que tout cela m'a laissé de marbre. Voici sur ces photos la maquette de la Résidence vue sur ses 4 faces.
Dans les salles baroques du château de la Résidence de Dresde, tout scintille : la Voûte verte historique attire le public venu admirer les collections d’État de Dresde. De 1723 à 1730, Auguste le Fort réalisa sa vision de l’œuvre d’art totale baroque, expression de la richesse et du pouvoir absolutiste. En harmonie avec l’architecture festive, environ 3 000 œuvres d’art vous sont présentées devant des murs d’exposition décorés ou sur des tables d’apparat. Le point culminant de la visite est la Salle des Bijoux avec les parures d’Auguste le Fort et de son fils, une collection unique de bijoux d’apparat du XVIIIe siècle.
Tandis que les œuvres d’art du trésor de la Voûte verte historique fusionnent avec l’aménagement intérieur pour former une œuvre d’art totale baroque, dans la Nouvelle Voûte verte, située juste un étage au-dessus, les quelque 1 000 objets exposés, dont certains ne sont entrés dans la collection qu’après la mort d’Auguste le Fort, sont au mis au premier plan.
Le cambriolage de la voûte verte de Dresde se produit le 25 novembre 2019, au cours duquel des dizaines de parures en diamants et autres pierres précieuses sont dérobées.
quelques étrangetés
Nous nous sommes installés dans la petite cour à l'ombre pour attendre nos amis voyageurs qui visitaient la Voute Verte !!!!!
Je vous souhaite une bonne soirée à bientôt pour le suite de Dresde !
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Nous voici maintenant devant l'église Notre Dame culte protestant appelée Frauenkirche.
L'église Notre-Dame de Dresde (Dresdner Frauenkirche en allemand) est une église luthérienne de Dresde, œuvre de l'architecte George Bähr, commencée en 1726 et achevée en 1743. On l'a considérée comme une des plus belles églises luthériennes d'Allemagne. Avec son immense dôme surhaussé en pierre, chef-d’œuvre technique de l'architecture baroque, et le grand lanternon qui le surmonte, l'église mesure 96 mètres de hauteur.
Statue de Martin Luther
Elle fut presque entièrement détruite, comme la majeure partie de la ville, lors du bombardement allié de Dresde le 13 février 1945. Sa reconstruction à l'identique débuta en 1994 et fut achevée en 2005. Les anciennes pierres qui ont été réintégrées à l'édifice se démarquent par leur couleur foncée, due au vieillissement, alors que les nouvelles pierres, majoritaires, sont de couleur claire.
Dès sa construction, l'église Notre-Dame est considérée par les habitants luthériens de Dresde comme le symbole du protestantisme, face au prince-électeur de Saxe et roi de Pologne, Auguste II le Fort, qui s'est converti au catholicisme en 1697. Son fils Auguste III va faire construire l'église catholique de la Sainte-Trinité, en même temps que la municipalité fait construire l'église Notre-Dame.
L'architecte municipal de la ville, George Bähr, dresse les plans de l'édifice entre 1722 et 1726 et commence les travaux à partir de 1726. L'église Notre-Dame est consacrée en 1734. Après la mort de George Bähr en 1738, c'est son élève J. G. Schmid qui termine la construction jusqu'au 27 mai 1743, par la fixation de la croix sur le dôme.
Il faut attendre la réunification allemande en 1990 pour que la situation évolue. Si quelques Dresdois engagés évoquent une reconstruction en 1989, l'impulsion est donnée le 13 février 1990 avec « l'appel de Dresde » lors du 45e anniversaire de la destruction de la ville.
L'initiative, sous la direction du musicien dresdois Ludwig Güttler, démarre en 1990 avec quatorze membres. Après l'appel de Dresde, qui touche une audience mondiale, l'association compte 5 000 membres, répartis dans plus de vingt pays, en 1991. Quatre cents associations sont affiliées : ainsi le Dresden Trust au Royaume-Uni, les Friends of Dresden, Inc. aux États-Unis ou encore, en France, l'« association Reconstruction de la Frauenkirche à Dresde ».
D'expositions en concerts, de donations en subventions, le projet de reconstruction trouve son véritable point de départ avec la mise en place de la Fondation Église Notre-Dame de Dresde sous le patronage du Land de Saxe et de l'Église protestante. Les travaux de reconstruction sont évalués à quelque 125 millions d'euros.
Il faut dire que cette reconstruction ne s'est pas faite dans l'unanimité. En Allemagne, une majorité des conservateurs du patrimoine et même certains cercles religieux désapprouvaient ce chantier. Ce projet était considéré comme une falsification de l'histoire au détriment d'une ruine imposante qui rappelait et symbolisait, pour beaucoup, l'effondrement du Troisième Reich.
C'est ainsi que la Frauenkirche de Dresde devint une pierre d'achoppement sur l'attitude à avoir, à la fin du XXe siècle, à l'égard du patrimoine monumental ».
L'église est rebâtie à l'identique. La croix dorée surplombant l'église est financée par des crédits britanniques, en signe de réconciliation. À l'intérieur de l'église, l'orgue signé du facteur alsacien Daniel Kern n'est pas une copie de l'ancien orgue disparu, mais un instrument moderne qui peut aussi bien jouer les pièces romantiques du XIXe siècle que la musique contemporaine. Les fresques sont refaites sur la base de documents et de récits. De nouvelles cloches sont installées.
L'église parachevée a été consacrée le dimanche 30 octobre 20052. Elle a été dévoilée complètement aux yeux du public en 2006 à l'occasion du 800e anniversaire de la ville. Elle peut recevoir jusqu'à 2 200 fidèles et accueille régulièrement des concerts.
Nous ne ferons pas de comparaison entre Notre Dame de Paris et cette église magnifique.
Bientôt nous parlerons du "Château de la Résidence" de Dresde qui était la résidence des princes-électeurs saxons (1547–1806) puis des rois de Saxe (1806–1918).
Prenez soin de vous.
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